Encore six mois à vivre... Ma première histoire :)

Pardonne nous Alizée, c'est plus fort que nous

mdr C'est pas grave mdr

Ah au fait, je viens de lire la suite =D

Miciii =)

You're welcome

Je vien de commencer la lecture de ton histoire et j'accroche vraiment bien, je vai l'imprimer pour moi lire le soir ce sera plus facile que de prendre le pc dans le lit lol!

En tout cas c'est un très bon sujet sur quoi tu écris!!!

Merci beaucoup

j'ai lu la suite hier soir tranquillement, et je te dis un GRAND bravo ma Papaye !!!

Merci !!!!

ma papaye, je me prendrai 1h ce soir pour lire!!^^

Oki Mel

super Alizée je vais imprimer et lire ça au calme ce soir

Oki

Van a écrit:

super Alizée je vais imprimer et lire ça au calme ce soir

me too

mais là faut vraiment que je m'y meeeeeeeeeeette à lire :( c'est pas que je veux pas mais! :(

Ca presse pas Mel t'inquiète je comprend que tu n'es pas le temps en ce moment

I love you ma papaye!

Me too

j'ai lu ça ma papaye et j'adoooore!! un grand bravo tu as un talent enorme !

Micii Van

de rien Papaye

J'ai pas encor eu l'occas d'imprimé tes chapitres pour les lire a mon aise car j'ai eu quelque ti soucy avec ma puce, mis promis je vai bientot m'y mettre!!!

Suite et Fin du Chapitre 5

Christophe et moi nous nous sommes regardés, puis le bus se remit à rouler. Le temps passé, mais malheureusement lentement. Je finis par taper la discute à Chris.

-Et toi? Si tu me racontais un peu ta vie? Dis-je avec un sourir.
-Qu'est-ce que tu veux savoir de moi?
-Je sais pas... Ta vie quoi!
-Et bien... Je suis née le 18 Décembre 1984 à Versailles. Ma mère était divorcée de mon père depuis pas très longtemps, elle avait la charge de mes deux grandes soeurs en plus de moi. C'était une grande chirugienne et la plupart du temps, c'était notre nourrice qui s'occupait de nous... Quand c'était ma mère qui s'occupait de moi, elle me laissait dans l'hopital et je trainais toute la journée là-bas. J'ai vite pris goût à cet endroit et j'ai toujours voulu faire comme ma mère, pour qu'elle soit fière. Elle m'ignorait beaucoup, voir elle se fichait totalement de moi. Elle me décourageait pour tout comme pour rien... Elle était sévère et froide... Mais je voulais juste devenir chiurgien pour lui montrer que je n'étais pas nul...
-Et alors? Que dit-elle maintenant?
-Et bien, j'ai finis par la laisser avec sa méchancenté... Elle ne voulait pas de moi et bien, je n'ai pas besoin d'elle pour vivre, je me suis rendu compte que je n'en ai eu jamais besoin d'ailleurs.
-Oh...

C'est tout ce que j'avais à dire... Moi, j'avais la chance d'avoir une famille géniale, des parents encore ensemble et qui m'aimaient. Christophe , lui, avait une mère qui s'en fichait total de lui. Je ne pouvais pas compatir. Juste comprendre mais je ne savais pas ce que ça faisait d'avoir un mère comme ça... La mienne avait toujours été là pour moi. Elle était adorable, une mère modèle. Alors tout ce que je pouvais dire c'était bien « Oh » parce que ça n'allait pas plus loin au niveau compation. Mais j'étais triste pour lui quand même. Je m'efforçais de trouver quelque chose pour sortir de ces mauvaises ondes qui nous entourait tout les deux. Mais je ne trouvais rien de bien intéréssant à dire.

-Je suis désolé pour toi... Je n'aurais pas du lancer le sujet délicat de la famille... Finis-je par dire en le regardant avec un air atristé et désolé.
-Tu ne pouvais pas savoir qu'il était délicat... Ce n'est rien. Dit-il assez froidement.

Un blanc s'installa dans le bus. Comme disait ma mère « un ange passait alors... ». Qu'il s'en aille, je n'en voulais pas. J'avais encore quelques mois alors pas la peine de venir me tourner autour avant l'heure. Je disais vraiment n'importe quoi parfois. J'avais toujours été comme ça il faut dire, ce n'était pas à cause de la tumeur... Je me parlais toujours intérieurement, c'était normal pour moi, c'était comme réfléchir, sauf que je me faisais la conversation et les commentaires toutes seule... Etrange, n'est-ce pas? A vrai dire, je ne savais pas que c'était surment normal, je n'avais jamais demandé à quelqu'un si ça lui arrivait aussi, c'était une question bizzare à poser... Le frein du bus se fut entendre une nouvelle fois et le bus s'arréta. Le chauffeur se leva alors et dit fort:

-Nous sommes arrivés!

Je me levis d'un bond, pris mes affaires et descendis dans les premières du bus. Il faisait très beau dehors, c'était agréable, même s'il faisait très chaud. J'attendis Chris devant le bus tout en sortant mon sac qui était dans le coffre du véhicule. Je récupérai aussi celui de Christophe. Quand ce dernier me rejoint, je lui tendis ses affaires puis je me retournai. Nous étions devant un hotel qui ressemblait un peu à ceux qu'on peut voir dans les films. C'était un hotel deux étoiles à en voir le panneau qui était juste à côté de moi. « The Pretty House » écrit en rouge avec juste à côté, deux étoiles jaunes. Je pris mon gros sac avec mes affaires dedans et je me mis à marcher derrière le chauffeur. Nous entrîmes dans l'hotel. La climatisation était très forte, il faisait un froid de cannard ici! Christophe arriva quelques secondes après moi dans l'hotel et s'approcha du comptoir pour avoir notre chambre. La femme qui était dernière ce comptoir parler français avec un accent américain qui me faisait rire mais je me retint pour ne pas parraitre malpolie.

-Bonjour... J'ai une chambre pour deux personnes au nom de Christophe Deschamps. Dit Chris avec un grand sourir.
-Attendez je regarde ça... Répondit la femme avec son accent bizzare.

Nous attendîmes quelques secondes puis l 'hotesse nous regarda avec un grand sourir.

-Oui... Voici votre clé. Dit-elle soudainement.

Elle tendit une clé à Christophe. Ce dernier s'empressa de la récupérer.

-Merci... Aurevoir!
-Aurevoir et bon séjour ici!

Je fis un sourir à la femme puis je tournai les talons suivant Christophe vers la sortie de l'hotel. Les hotels en Amérique étaient différents que ceux où j'avais pu voir jusqu'à aujourd 'hui. Les chambres étaient contruitent comme des maisons, les une à côté des autres. Alors qu'en France, les chambres des hotels sont disposés dans des étages. Mais celui où nous étions devait etre comme ça car il n'était pas très grand. La plupart des gens qui étaient dans le bus avec nous étaient partis dans un autre bus pour allez à un autre endroit. Notre chambre était la numéro quatorze. Arrivée devant celle-ci la première, j'attendais que Christophe arrive à son tour tout en comptemplant le paysage autour de mois. Nous étions juste en face du grand Canyon et demain nous allions le visiter. Chris arriva quelques instants après et ne me regarda même pas. Je compris à ce moment là qu'il ne m'adressait plus la parole. Etait-ce à cause de l'histoire de sa mère de toute à l'heure? Je ne voyais que cette hypothèse pour qu'il me fasse la tête... Il entra la clé dans la serrure et rentrit dans la chambre. Je rentris à mon tour. La pièce était assez grande. Il y avait deux lits l'un à côté de l'autre, un bureau, une télé, une table et plusieurs chaises. Puis une autre porter qui menait surment à la salle de bain. Chris posa ses affaires sur le bureau puis sortis dehors. Je restai seule alors, dans la grande pièce où le silence était une fois encore dominant. Je posais mes affaires sur un des deux lits, le plus près de la fenetre que j'ouvris juste après puis les autres pour faire passer le soleil et aiérer un peu, car ça sentait légèrement le renfermé. Puis je m'acoudai au rebord d'une des fenetres de la pièce et je regardai Christophe à une dizaine de mètres qui faisait les cents pas. Je baissai la tête, me sentant coupable de son humeur bien que je trouvais son comportement un peu exagéré. Puis je marchai vers mon lit, enfin ce n'était pas vraiment le mien mais j'avais choisis celui là pour dormir, quand je me sentis bizzare. Un atroce vertige me prit alors, j'eus juste le temps de m'assoir sur le lit avant de perdre l'équilibre. Je m'alongeai dans toute la longueur du meuble et je fermis les yeux en essayant de penser à des choses plus agréables pour me faire oublier mon horrible mal de crâne qui me prit d'un coup aussi. J'entendis des pas qui se rapprochaient de moi de plus en plus, je ne savais pas si c'était Christophe , je ne reconnaissais pas sa démarche. Je restai immobile sur mon lit en faisant semblant de dormir. Je sentis une main se poser sur mon front suivit d'un petit soupir, puis la personne s'éloigna. Ca ne pouvait etre que Christophe. Je vérifis quelque instant après, en entre-ouvrant les yeux légèrement pour voir et c'était bien lui. Puis je refermis mes yeux et je ressentis une vague de fatigue qui s'emparait de moi, je la laissa faire et quelques minutes plus tard, j'étais déjà plongée dans un profond sommeil...

hihiiiii cool je lirai ça tonight ma papaye !!

alors la BRAVO Alizee c'est une tres belle histoire triste mais super bien ecrite. Tu as un vrai talent profites en.