Le désespoir Infernal

Rappel du premier message :

Bon voila comme vous êtes interressé, j'ouvre ce topic pour!
J'espère que ce premier chapitre vous plaira, et que ça vous donnera envie de lire la suite!

Titre : Le désespoir infernal
Genre : Drame (pourquoi changé mes habitudes lol) mais il y aura aussi de la romance!
Sinon tous m'appartient, les personnages ainsi que l'histoire bien evidemment!
Résumé : (Je vais vous en faire un cour pour que vous ne soiyez pas obligé de commencé à lire cela ne vous interresse pas ! )
C'est tous simplement l'histoire d'une jeune femme de 25ans à peu près qui est anéantie par les souvenir de son passé, des souvenirs horrible qu'elle n'arrive plus à géré.
Elle est dans un gouffre immense dont elle 'narrive à s'en sortir, une colère et de la souffrance qu'elle n'arrive pas à exteriorisé face à tout ce passé qui la hante. Elle utilise beaucoup de manière peu ortodoxe je dirai pour exteriorisé, mais vous découvrirais tout ça en lisant!
C'est écris sous forme de journal ou de memoire en quelque sorte, en général c'est ecris à la prmeière personne car l'histoir sort de la bouche de l'héroine elle même!
Bon je vous met le debut ! Bonne lecture à tous ceux qui liront !

Le désespoir infernal

Chapitre 1

Il y à des rêves, comme des souvenirs qui nous échappent, comme il y à des rêves ou des souvenirs qui nous terrifie, mais il y à aussi ceux qui nous apportent quelque tendre souvenirs.
Je ne dirait pas que j’en est hérité de beaucoup, mais il y en à quand même quelque un qui mon apporter un peu le sourire.
Un peu comme une douce caresse effleurant votre bras, ou un tendre baisé à la commissure des lèvres déposé par un amant fougueux.
Puis il y à les drôles d’impressions, comme un effleurement du bout des doigts dans le creux de mon dos, ou une chaleur réconfortante, à mes côté quand la nuit tombé je vais me couché.
Comme voulant m’apporté le réconfort avec des bras puissant qui viendrais m’entouré et m’apporter la sécurité d’un foyer.
Et j’en oublierai presque que je suis célibataire, et que tous cela ne sont que des illusions.
Les souvenirs me hantes, ils s’accrochent à moi, me poursuive même dans le noir des mes rêves, ils sont mes cauchemars, ils sont mon passé.
Pourtant il m’arrive encore de pensée que pendant ces rare fois ou je m’accorde de dormir, ou mon corps épuisait me dit stop, il m’arrive de ne plus pensée à rien, de ne plus pensée à lui, à ces yeux me regardant de haut en bas, à son sourire milieux qui me dégoute, à son corps inerte, étendue par terre, moi le soutenant que avec le peu de force qu’il me resté.
Je me revoie encore, ce jour la, le regard vague ne sachant plus quoi faire, seulement attendre le moment fatidique, ou la mort elle-même viendrais à son tour m’emportée. Mais pour moi cette heure la n’à pas sonné ce jour la. Elle n’a d’ailleurs jamais sonné depuis ce jour.
Ça fait presque 1an maintenant, un an ou les souvenirs me ravage, ou une seule idée m’obsède, un an que mon corps et devenue le souffre douleur d’une désespéré qui ne sais pas crié sa douleur, qui ne sais pas hurlé sa haine.
Mais pourtant je continue d’avance, avec mes marques, essayant d’oublié la déchirure qu’à subit mon cœur, essayant de cautérisé les plaies que toutes ces réminiscence on laissée derrière elles.
Et je poursuit tant bien que mal, mon chemin, essayant de trouvé ma route, essayant de menée une vie, la mienne, celle que j’aurai du avoir, celle que j’ai tant souhaité obtenir pendant toutes ces années.
Mais chaque journée, chaque pas que je fait, est chaque fois un peu plus horrible. Chaque heure, chaque minutes m’offre de nouveau ces horrible images.
Je ne suis pas du genre à abandonné, ni une de ces personnes qui parle à tort et à travers de leurs problèmes, alors je crie en silence, et supplie de temps en temps pour que quelqu’un m’entende, mais ça n’arrive pas, en fait c’est arrivé que bien plus tard.
A un moment ou je ne voulais plus qu’on m’entende. A un moment ou je voulais juste trouvé la paix, et ne plus à avoir à supporté ma souffrance.
Pour l’instant j’essaie d’oublié, de survivre, de continué ma route avec ces aléa comme on dit, alors je me noie dans le travail, n’arrête jamais de faire différentes taches, Je me m’acharne jusqu’au bout de mes limites, et conduit même mon corps jusqu’à l’épuisement.
J’y laisse mes pensées, ma sueur, et mon âme, j’en oublie ma chair elle-même, ce qui me permet de ne pensée à rien d’autre.
Mais c’est sans compté que un jour votre corps vous dit stop, ça suffit, il faut arrêté.
Et ce jour la, vous tombé, votre corps ne vous obéis plus, votre cerveau tourne tellement vite, que vous n’arrivé plus à suivre, puis votre rythme cardiaque s’accélère jusqu’à ce qu’il s’arrête. Votre cœur ne bat plus et vous fermé les yeux. J’ai toujours eu l’impression de ne voyagé que dans du noir, ma vie elle-même étant un enfer, mon cœur n’a jamais battue pour quelque chose qui en valait la peine, mais cette expérience fait tout de même un drôle d’effet je me doit de l’avoué.
Ce jour la je suis tombé, je me suis tout simplement évanouie, je sais pas si mon cœur c’est arrêté mais je ne crois pas, disons que ça en était pas loin. C’Est-ce que le médecin lui-même me dira un peu plus tard. Quand épuisait je sortirait de ma torpeur passagère.
Et c’est une semaine plus tard que je me réveilla à l’hôpital, des tuyaux partout, ne pouvant pas bougé, la vue floue, et la respiration saccadé.
Une infirmière à mes côtés, qui me pris la main, quelque minute, puis elle m’enleva tous ces tuyaux avant de me jette un de ces regards remplis de pitié qui vous fait vomir. Je détourna le regard presque immédiatement ne pouvant accepté un tel regard, et elle quitta la chambre une fois qu’elle eu terminé, surement pour allé prévenir le médecin que j’était réveillé.
Mais à ce moment la j’en avait cure, qu’un médecin vienne m’ausculté, qu’une infirmière me regarde avec de la pitié. En fait j’en voulais à la terre entière qu’une fois de plus on ne m’ai pas offert ce que je désirait tant.
Je ne suis pas une de ces personnes qui n’est pas reconnaissante au contraire, je sais que beaucoup de personne remercierai dieu lui-même si c’était possible, pour avoir survécut, mais, moi à ce moment la, allongé sur ce lit d’hôpital, j’aurai maudit dieu en personne pour m’avoir laissé survivre.
Je ne souhaité qu’une chose, que la paix me gagne enfin, que cette souffrance s’arrête simplement.
Oublié tous ce que j’avais pu vivre et ne me consacré qu’au jour présent, mais une fois de plus ce que je voulais compté peu, comparé à ce que tous les autres voulaient. Une situation que je connaissait tellement bien.
Mais je ne put me lamenté un peu plus sur mon propre sort car, la porte de ma chambre s’ouvrit, et un homme en blouse blanche s’approcha de mon lit. Surement le médecin, il tenait un dossier entre ces main, qui devait être certainement le mien. Il avança nonchalamment, il était plutôt charmant d‘une quarantaine d‘année, de grande taille, des cheveux brun quelque peu grisonnant ce qui lui donné un air asses sur de lui, des yeux d’un bleu clair magnifique, et une carrure tous ce qu’il y à de plus normale.
En dehors de ces heures de travail cet homme devait faire de la musculature pour ce tenir en forme.
J’était peut être dans un gouffre gigantesque, une jeune femme désespéré, avec des sentiments que je n’arrivait pas à géré, mais je savais quand même encore reconnaitre de la beauté quand j’en voyait.
Je poussa un discret soupire, avant de m’enfoncé un peu dans mes oreilles. Pendant que le médecin s’approcha de moi pour m’ausculté.
Une fois qu’il eu finit de prendre ma tension, de vérifier mes reflexes, et d’écouté mon rythme cardiaque, il posa doucement son stéthoscope autour de son cou, et s’assis tranquillement à mes côtés. Il me regarda de ces yeux bleu et j’eu comme l’impression qu’il me transpercé de part en part.
C’était l’une de ces désagréable sensation que l’on ressent, comme si quand cette personne vous regardé elle voulais ce plongé un peu plus profondément en vous pour tous savoir.
-« Bonjour Anael, je suis le docteur Richard Karkof! »
-« Bonjour docteur! »
Ma voix était quelque enraille de ne pas avoir servie depuis plusieurs jours, mais j’en avait autant rien n’a faire qu’une mouche qui vole.
Tout ce que je voulais c’était quitté cet hôpital et rentré chez moi.
-« Quand pourrais je rentré chez moi? »
-« Pas tout de suite Anael, je le crains, vous avez échappé de peu à la mort vous savez.
Vous rappelez vous quoique ce sois avant de vous réveillez ici? Vous rappelez vous ce qui c’est passé? »
- « Je me souviens mettre évanouie à mon travail, c’est tous ce dont je me rappel. »
- « Très bien! Mais c’est bien plus grave que ça, voyait vous.
Vous avez êtes arrivé ici, vous étiez en sous alimentation, déshydraté, votre rythme cardiaque à battue tous ce que j’ai bien pus voir ici depuis que je travail dans cet hôpital.
Quand à votre tension elle n’était que à 6,5, c’est extrêmement bas, votre sang n’irriguait plus les parties les plus importante de votre corps et de votre système aussi.
Qui plus est vous étiez totalement épuisait, et je ne parle pas seulement de fatigue, je parle de tous votre corps, vos muscle, votre cœur tous étaient épuisait.
En gros ce que j’essai de vous dire, c’est que votre cœur et votre cerveau on faillit tous les deux lâche.
Depuis quand n’avez-vous pas, mangé, but plus d’un verre d’eau, ou dormie plus d’une demie heure? »
A ce moment la je me rappela quelque chose que mon père me répété souvent. Il était tous sauf un modèle et dire que je le méprisé serai encore trop faible, mais c’est parole coule encore comme de l’eau dans mon esprit. Et je me souvenue qu’il me disait toujours que la feinte était la meilleure des choses pour ce sortir d’une situation dans laquelle on était et dont on avait pas envie de s’expliqué.
J’en avait fait l’expérience plus d’une fois, et chaque fois avait réussis asses bien, mais jamais encore je n’avait fait une feinte aussi surprenante.
Jamais je n’avais été aussi rapide et aussi sur de moi en avançant de tel mensonge.
Je me surpris moi-même, et me détesta en même temps, cet homme, ce médecin était la pour m’aidé, et il venait de me sauvé la vie.
Même si ce que je souhaité n’était pas de vivre je l’a lui devait, mais les habitudes étant plus forte je ne put m’empêché de mentir une fois de plus.
- « Je ne voie pas de quoi vous voulez parlé docteur. Je vous assure, que je mange tous les jours, et que je dort d’un sommeil de plomb.
Je ne sais pas ce qui c’est passé. »
-« Bien, si vous le dites.
Mais vous recevrez des visites, plusieurs visites dans le mois, quand vous serez rentré chez vous. Pour votre bien. »
Il commença à ce levé et à quitté la chambre quand je l’interpella une dernière fois.
-  « Qu’entendait vous par « Plusieurs visites dans le moi? » docteur? »
- « J’entend par « plusieurs visites » que plusieurs fois par mois, il y aura une personne qualifié qui vous rendra visite, pour vous réapprendre à avoir une hygiène de vie saine. Mangé tous les jours, et dormir toute une nuit entière. Passé une bonne journée Anael, et reposé vous surtout. Vous avez faillit mourir rappelez vous en. »
- « C’est peut être ce qui aurai du arrivé, ça aurai été beaucoup mieux. »
Je n’avait que murmuré cette phrase, mais encore aujourd’hui je me demande si le docteur Karkof ne l’avais pas correctement entendue. Et ces dernier mot résonne encore toujours dans ma tête comme un violent écho. « Rappelez vous en » avait t’il dit. Oui je m’en suis rappelé et je n’ai même jamais oublié ce que cette accident m’avais apporté comme sensation. Les souvenirs de ce noir total, l’abandon de soie, en croyant que c’était la fin. Non je n’ai jamais oublié.
Quand le docteur Karkof quitta ma chambre je ne réalisé par encore tout à fait ce que allait être ces visites, c’est que bien plus tard, quand elles commencèrent que j’en pris vraiment conscience.
Car ce n’était pas simplement une personne qualifié dont j’hérité, mais plutôt d’une Baby Sitter à temps plein.
Mais je savais pas encore que tous ceci était fait pour me protégé. Me protégé de la seule personne encore en vie pour me faire du mal, moi-même, je devrai dire même que j’était la pire de toute les personne qui on put m’en faire. Mais je ne réalisa tous ceci que bien après.
Je ne m’attarda pas trop sur mes pensées, car comme l’avais dit le docteur Karkof j’était épuisait, et je m’endormie bien vite pour rejoindre le noir de mes cauchemars. Des cauchemars dont je pensé qu’ils étaient depuis longtemps enfoui dans l’oublie de mes souvenirs.

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Voila !

surtout quand c'est pour le plaisiir et non pas une lecture pour l'école!^^

oui, surtout

Merci beaucoup Van :D!
Je suis contente que ça te plaise :D !

Citation :

Ah oui! Van a raison ma Kelly! J'espère que tu continueras encore et encore!

Ne t'inquiéte pas Ma Mel, je compte pas m'arrêté la :D !
Pour l'instant je me concentré sur ce roman et une fois finit j'en écrirais peut être un autre lol !

Et savourais le bien alos :D !

ah oui ça me plais beaucoup beaucoup

Voila le chapitre 4 sortie aujourd'hui lol!
Bonne lecture

Chapitre 4

Sans que je m’en rende vraiment compte, ou même que je m’aperçoivent de quelque chose, mes pieds m’avaient déjà conduite en dehors de l’enceinte de cet hôpital. Je marché sans but, sans réfléchir, juste fuir le plus loin possible cet endroit. C’était la seule chose à quoi je pensée. Mais ce qui me bouleverser le plus était le fait que, oui, Mon désir le plus fort était de fuir cet hôpital, mais celui qui était encore plus fort, était celui de me fuir moi-même, fuir celle que j’était devenue, celle que je ne reconnaissait pas en me regardant dans une glace. Je ne dirait jamais que avant, en me regardant dans une glace je n’avait pas déjà vue ce que j’avais vue dans celle de l’hôpital, un visage blafard, des cernent bien trop prononcé sous les yeux, un masque de fatigue qui me col à la peau depuis des années maintenant, mais jamais encore je n’avais remarqué un tel changement dans mon regard. Une telle colère, une telle soif de vengeance, et plus que tout une telle soif d’en finir.
J’avais vue ce que j’avais imaginé et pensée depuis des semaines … J’avais baissé les bras. J’avais abandonné tout espoir de m’en sortir, Je me contenté seulement de vivre comme ça venait sans me soucié d’autre chose, sans prendre de gout à ce que je faisait ou à ce que je vivait.
D’ailleurs en y repensent cela durée depuis plusieurs année déjà que je vivait sans prendre de gout à rien, sans m’investir dans aucun projet que ce sois professionnel ou personnel. Ça faisait maintenant presque trois ans que j’avais laissé tombé l’idée d’avoir quelqu’un dans ma vie, mes autres relations étant été des échecs, du plus par ma fautes, que par celle des hommes qui on peuplé ma vie à divers moment. Eux étaient plutôt entreprenant, ayant et voulant faire des projets avec moi, comme ce marié ou avoir des enfants. Acheté une maison et fondé une famille. Je poussa un long et profond soupir, tout en continuant de marché sans but. J’était pied nue, ma chambre d’hôpital étant bien chauffé je n’avais pas pris la peine de mettre mes chaussons. Je marché donc pied nue dans l’herbe humide, je dirait même mouillait par la pluie. Je me soulagea en me disant à moi-même que heureusement il ne c’était pas encore mis à neigé. Même si en fin de compte je n’en avait rien à faire ça me rassura quand même quelque peu. Après tout vouloir en finit et une chose, mais dans ce cas la vaut mieux le faire vite et bien, et non en tombant malade. J’esquissa malgré moi un demi sourire, tous en continuant de marché droit devant moi. Il ce trouvé que cet hôpital, avait un magnifique parc, certainement pour empêcher au patient qui ce trouvé à l’intérieur de devenir dingue à force de rester enfermé. C’était plutôt une bonne chose. Car moi-même j’allais finir par perdre pied à force de rester cloitrer dans ma chambre. Même si je ne supporte pas la présence d’autre personne autour de moi, j’avais quand même souvent une très forte envie, de soufflé et de respiré un bon bol d’air frais. Je croisa les bras, et regarda autour de moi, il était gigantesque, l’herbe était encore d’un beau vert clair, parfois brillant dans les lueurs du soleil matinal, qui essayé vainement de percé à travers les gros nuages gris de l’hiver. Il y avait peut être une dizaine d’arbre, les chênes étaient en nombre, mais il y avait aussi de grand sapin un peu éparpillaient à travers ces chênes, et un grand saule pleureur ce trouvé au milieux accompagné d’un banc en bois qui ce trouvé juste dessous. Un petit lac était devant, quelque nénufar jonché à la surface de l’eau et par moment on pouvait voir quelque bulle percé. C’était un endroit calme, et apaisant. De grande lavande entouré le lac, formant un cercle violet, voir bleu par moment. Je me dirigeas vers le banc, et m’y assis tranquillement, le regard perdue sur le petite étendue de ce lac, essayant de capté un quelconque mouvement. L’odeur que dégageait la lavande imprégner tout l’endroit ou ce trouvé le lac. Je ferma les yeux et me laissa aller doucement sur le banc. J’avais comme l’impression de ne plus existé pour la première fois, je me sentait calme, apaisait, comme si je savais que plus rien ne pourrais jamais plus m’arrivée. Je me sentais comme transportée ailleurs. Il est souvent dit que la lavande avait des vertu médicinal, comme apaisait les maux de tête, calmé une anxiété, et plusieurs autre chose encore. Et je ne sais pas pourquoi mais à cet instant je savais que c’était vrai, jamais encore je ne m’était sentie aussi tranquille. Un discret sourire ce dessina sur mes lèvres, j’avais toujours les yeux fermé, et aucune envie de les rouvrir, je ne voulais absolument pas brisé cette illusion magique que rien ne pourrais jamais m’arrivé au contraire, je voulais préservait encore pendant quelque minutes cette magnifique impression. Je voulais gardé au plu profond de moi cette sérénité, Je n’avais jamais connue un calme tel que celui-ci, il était comme presque irréel. Puis je sentis comme une présence, et un bruissement de vêtement ce fit entendre juste à côté de moi. Je rouvrir aussitôt les yeux presque surprise et aveuglé par la lumière du soleil qui ce reflété à la surface du lac. Après toute ces tentatives pour percé à travers ces nages gris, il avait enfin réussit. Je tourna la tête vers cette présence qui ce trouvé à mes côté et la regarda un petit moment avant de replongé de nouveau mon regard sur le lac. Comme je le pensé il ne faut pas longtemps pour que la réalité rattrape l’irréel.
« Docteur Karkof! Comment allez vous? »
Il esquissa un petit sourire, que je devina très facilement. Il était surement en train de ce demandé comment une personne comme moi, qui en avait rien à faire de la vie et de ce qui l’entouré, pouvait bien ce préoccupé de savoir comment un simple médecin comme lui pouvait aller. Mais je fut surprise quand il me répondit, d’un ton égal, ni suffisant, ni indifférent.
« Je vais très bien, merci Anael. Et vous, comment Est-ce que vous allez aujourd’hui? »
Je resta quelque minute muette. Vous devez connaitre l’expression qui dit « Etre muette comme une tombe » ben moi j’était plutôt « muette comme une carpe » ouvrant et fermant la bouche ne sachant pas quoi répondre. Je me trouva tellement stupide sur le coup que je préféra refermé ma bouche et poussé un profond soupir d’insatisfaction. Mais je finit par réussir à sortir quelque mot, au prix d’un grand effort.
« ça peut aller, je vous remercie. »
Puis je me tassa sur moi-même, honteuse de moi et de mon incapacité à sortir un si petite phrase telle que celle-ci. Je regarda malgré moi le docteur Karkof du coin de l’œil, il ne semblait pas s’en offusqué plus que ça, au contraire, il avait toujours ce petit sourire en coin, qui lui donnait un air d’enfant espiègle. Ce qui, faut bien que je l’avoue m’agacé plus que je ne le laissé paraitre.
« Que faite vous ici Docteur? » dis je d’un ton froid.
« Je travail ici, vous le savez bien! »
En plus de ça, il jouet avec les mot, et mes propres mot qui plus est. Je crois n’avoir jamais ressentie une telle envie de m’énervé contre quelqu’un que ce jour la en la présence du Docteur Karkof. Et j’avais comme l’impression que son sourire s’élargissait un peut de temps à autre.
« Vous jouet sur les mots Docteur! »
« Oui, ça m’arrive parfois, j’aime voir l’effet que cela peut provoqué sur les gens! Voyons Anael, ne vous en offusqué pas, ce n’était pas destiné à être méchant »
« Je ne suis pas offusqué »
Est pour cause, j’avais les joues en feux, et surement rouge de honte. Et des larmes me perlée au yeux, je me mordit la lèvre inférieur et baissa la tête vers Mes mains toujours bandé. D’ailleurs le bandage était en train de s’effiloché à force de tiré dessus, mais il ce trouvé être aussi trempé. En m’aspergeant le visage d’eau j’avais oublié que en même temps j’allais mouillait mes bandages. Mais je haussa discrètement les épaules, après tous ce n’était pas si dramatique, en revenant dans ma chambre j’était persuadé qu’une gentille infirmière me les referais sans rien dire. Je tourna donc de nouveau mon regard vers le Docteur Karkof qui ce dernier avait suivait mon regard qui c’était rivé sur mes mains.
« En fait je suis juste intrigué par le fait de vous voir assis la, alors qu’il fait un froid presque glacial. » dis je.
« Si je suis la, c’est parce que je vous cherchez. L’infirmière qui était partie vous cherchez un cachet pour votre mal de tête et arrivé toute affolé dans mon bureau, après qu’elle sois passé dans votre chambre bien sur et qu’elle l’ai trouvé vide. Que faite vous donc dehors? Comme vous l’avez dit Anael, il fait un froid glacial, et vous êtes pied nue. Vous voulez resté plus que nécessaire ici? Je ne pense pas, alors dite moi ce qui vous tracasse. »
Je resta de nouveau sans voix, ce qui m’arrivé régulièrement ces temps ci. Je ne savais pas quoi lui dire. Car si je lui disait tous ce qui n’allait pas on en aurai pour des heures voir des jours tellement j’avais l’impression que ma tête était pleine, et prête à explosé. Et dans un autre sens, je ne pouvais pas et n’avait pas envie d’en parlé, de peur des répercussions et de la promesse que j’avais faite à Mora de ne plus jamais en reparlé ni même d’y repensé. J’était comme coincé. Je regarda le lac, si calme et tranquille, rien qui vienne perturbait ce moment de plénitude. Si seulement moi aussi je pouvais être dans un état comme celui-ci. Libre et tranquille. C’Est-ce dont je rêve depuis ma plus tendre enfance, mais un rêve ne reste qu’un rêve malheureusement, alors je me contenta de resté muette.
« Vous ne voulez pas parlé. Je comprend, vous avez peur de ce que je pourrais pensé de vous après, vous avez peur que je vous juge n’Est-ce pas? Je ne vous demande pas de parlez je respect votre choix et puis vous faire parlez n‘est pas de mon ressort, faite moi juste savoir si je suis sur la bonne voie! »
Je resta le regard rivait sur la surface du lac quelque seconde avant de le détournait et de plongé mon regard dans celui du Docteur Karkof. Regard que je n’arriva pas à soutenir bien longtemps, ayant toujours l’impression que ces yeux bleu me transpercé de toute part. Je frissonna et hochât doucement la tête en signe d’acquiescement à sa question.
Je crois que pour l’instant il n’avait pas besoin de savoir plus de chose que nécessaire. Il était mon médecin, et il s’avéré qu’il était un excellent médecin. Pour l’instant il était donc bien mieux que les relations s’arrête à celle de médecin à celui de patient. Ma vie étant déjà compliqué dans ma tête, l’expliqué serai encore pire. Et je n’était pas encore prête à établir une relation comme celle la.
« très bien, nous avons déjà fait un pas. »
Je le regarda sans rien comprendre. Je n’avais rien dit, pas parlé sur ma situation rien avoué sur ce que j’était, et il disait qu’on venait de faire un pas. J’était à la fois inquiète et curieuse. Mais le Docteur Karkof était lui aussi certainement curieux, mais aussi amusé par mon air, qui devait être apparemment hilarant. Mais en fait je ne voyait pas ce qui pouvait être marrant dans le fait de ne rien comprendre à ce qui ce passé.
« Nous venons de faire un pas, dans le sens, ou d’accord vous ne voulez pas parlé, mais vous venez d’avancé en acceptant de répondre à ma question et surtout en ne mentant pas, à moi certes, mais surtout à vous-même Anael. C’es important de ne pas mentir aux gens, mais c’est encore plus important de ne pas ce mentir à sois même. »
« Vous auriez du être psychologue Docteur. »
« Mais j’ai un diplôme en psychologie Mlle, mais les maladies du corps, m’intéressait plus comparé à celle de l’esprit. Peut être que si je vous avez rencontré avant, j’aurai suivit cette route. »
« C’est pas bien je suis votre patiente, vous ne devriez pas faire de favoritisme. »
« J’essai de détendre l’atmosphère. Le stress n’est pas bon pour la guérison. »
Sans le vouloir et sans même m’en rendre vraiment compte je poussa un petit rire, qui pour une fois venait de plus profond de moi-même.
Je fut tellement surprise, que je m’arrêta presque aussitôt sous le choc de mon propre son, celui de mon rire. Je ne l’avais pas entendue depuis tellement d’année, que j’avais oublié à quelle point ça pouvait être bon.
« Vous allez bien Anael? »
Le docteur Karkof n’était pas stupide, chose qu’on aurai pu lui reprochait si cela avait été le cas. Mais depuis que j’était arrivé ici, et depuis que j’avais fait la connaissance du Docteur Karkof, je ressentait pour la première fois l’envie de ne pas lui mentir. J’avais une main bandé posé nonchalamment sur mes lèves, je tourna mon regard vers le Docteur Karkof.
« C’est … Ca faisait … Longtemps! »
Encore plus surprenant, je n’eu pas à m’expliqué, il compris aussitôt de quoi je voulue parlé. Oui c’était un bon médecin, mais il aurai fait un excellent psychologue, peut être même plus que excellent.
« Oui je m’en doute. Maintenant rentrons, je sais que cet endroit et magnifique, mais si vous resté ici pied nue, vous allez finir par attrapé froid. »
« Oui, c’est vrai que cet endroit et superbe, je regrette presque de le quitté. »
« On peut faire un pacte si vous voulez. »
« Un pacte? »
« On rentre ce mettre au chaud, et vous me promettez de me tenir le plus souvent possible de votre santé, et vous pourrez venir ici aussi souvent que vous le désirez. Vous en dites quoi? »
J’esquissa un mince sourire, et tendit ma main droite bandé vers lui qu’il pris sans aucune hésitation.
« Marché conclue » Dis je.
Puis on ce leva du banc et sortit de dessous le saule pleureur. Et on s’éloigna de cet endroit si paisible. J’avais à peine tourné le dos, à ce lac, à peine sortit de dessous ce saule, que j’avais déjà une irrépressible envie d’y retourner, et de me laisser de nouveau enveloppé par cette illusion de calme et de plénitude. Mais je ne pouvais pas constamment vivre dans mes rêves, il fallait que j’assume la réalité. Mais encore à ce moment, marchant au coté du Docteur Karkof, je n’avais toujours aucune envie d’assumé les réalités, j’avais encore peur, des regards des autres, encore peur de mon propre regard celui que j’avais vue dans cette glace d’hôpital. Si j’était aussi remplie de haine, comment pouvais-je vivre en toute sérénité. Comment pouvais-je vivre en étant aussi peut encline à accepté ce que la vie avait fait de moi. J’était à la fois envieuse, et Découragée. Comme ça m’arrivait souvent depuis tant d’année, j’avais envie d’avancé, d’être quelqu’un d’autre, d’oublié. Mais en même temps je n’y arrivait pas, et j’avais envie de tous laissé tombé, et de me jeté du haut d’un pont. Ce jour la, suivant le Docteur Karkof à travers le parc pour rentré à l’intérieur de l’hôpital, j’avais de nouveau ces sentiments ces envie, qui ce trouvaient être plus confuses les unes que les autres. Mais plus que tout j’avais toujours cette envie d’en finir qui m’était continuellement présente à l’esprit. Encore une fois je la repoussa au plus profond de ma tête, essayant de l’enfermé dans un tiroir, mais sans y mettre la clé. J’avais toujours l’impression que quoiqu’il arrive, qui que ce sois que je rencontrerais jamais je n’aurais de place et d’avenir ici. Je poussa tout de même un discret soupir, et continua de suivre pour l’instant le Docteur Karkof. On atteignit les portes coulissantes de l’hôpital en rien de temps, je regarda une dernière fois derrière moi essayant de distingué le lac avant de rentré à l’intérieur et de laissé ces portes coulissantes ce refermé derrière moi.

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Voila vous avez le temps de lire, le chapitre5 n'est pas encore commencé !

génial la suite je vais lire ça ce soir au calme

Merci Van!
C'est gentil!!

je l'ai lu la dernière fois au calme et..comme pour les autres chapitres j'ai adoré tu es so talented ma kelly!!! vive la suite

Merci Van :D !!!
Je suis très contente que ça te plaise, surtout que je l'écris avec tout mon coeur :D !!

J'ai pas encore lu cette partie car je n'aime pas lire en ligne...en fait je suis obligé de faire une capture d'écran puis de l'imprimer....je ne vois pas d'autre méthode

Ben tu peut aussi tout surligné et faire un copier coller, pour le mettre sous Works et ensuite l'imprimé ça te ferra comme un petit livre à lire lol.

Mais lis le quand tu aura le temps vieuxdragon !

kelly a écrit:

Ben tu peut aussi tout surligné et faire un copier coller, pour le mettre sous Works et ensuite l'imprimé ça te ferra comme un petit livre à lire lol.

Mais lis le quand tu aura le temps vieuxdragon !

tu veux dire sous Word (ou WordPad)

kelly a écrit:

Merci Van :D !!!
Je suis très contente que ça te plaise, surtout que je l'écris avec tout mon coeur :D !!

ça se voit ma kelly

kelly a écrit:

Ben tu peut aussi tout surligné et faire un copier coller, pour le mettre sous Works et ensuite l'imprimé ça te ferra comme un petit livre à lire lol.

Mais lis le quand tu aura le temps vieuxdragon !

Moi j'ai opté cette solution car mes yeux ont horreur de lire sur écran.... (excuse-les! mdr ) En plus étant asygmate (bon je sais pas l'ortho!!!!) c'est pas top!

Sev a écrit:

kelly a écrit:

Ben tu peut aussi tout surligné et faire un copier coller, pour le mettre sous Works et ensuite l'imprimé ça te ferra comme un petit livre à lire lol.

Mais lis le quand tu aura le temps vieuxdragon !

tu veux dire sous Word (ou WordPad)

Bah Non je parle de Works qui existe toujours la nouvelle version !!!
Après oui je sais qu'il y à aussi Word !!

Mdr t'inquiéte pas Mel je te pardonne, dit toi que trop lire sur l'écran sa ma bousillé les yeux à une époque je lisait plein de fic sur l'ordi ça tue les yeux alors je te pardonne mdr !
Merci Van !

oups mdr

Non c'est pas grave Sev mdr !

de rien Kelly

kelly a écrit:

Sev a écrit:

kelly a écrit:

Ben tu peut aussi tout surligné et faire un copier coller, pour le mettre sous Works et ensuite l'imprimé ça te ferra comme un petit livre à lire lol.

Mais lis le quand tu aura le temps vieuxdragon !

tu veux dire sous Word (ou WordPad)

Bah Non je parle de Works qui existe toujours la nouvelle version !!!
Après oui je sais qu'il y à aussi Word !!

Mdr t'inquiéte pas Mel je te pardonne, dit toi que trop lire sur l'écran sa ma bousillé les yeux à une époque je lisait plein de fic sur l'ordi ça tue les yeux alors je te pardonne mdr !
Merci Van !

c'est gentil Kelly! mdr

Mais je suis toujours gentille ... mdr !!

j'ai jamais osé dire le contraire ma belle! mdr

mdr

J'essairé de mettre la suite des que possible !
J'ai commencé le nouveau chapitre mais il reste encore pas mal de boulot avant qu'il soit terminé!!
Mais je pense toujous à vous le montré :D !!
Si cela vous interresse toujours :D !

bien sûr que ça nous interesse kellyloulou

oui continuuuuuuuuue Kellynou!!

Je viens de lire et c'/est bien meme si c'est triste. as tu finalement prevue une suite ?