Bon voila comme vous êtes interressé, j'ouvre ce topic pour!
J'espère que ce premier chapitre vous plaira, et que ça vous donnera envie de lire la suite!
Titre : Le désespoir infernal
Genre : Drame (pourquoi changé mes habitudes lol) mais il y aura aussi de la romance!
Sinon tous m'appartient, les personnages ainsi que l'histoire bien evidemment!
Résumé : (Je vais vous en faire un cour pour que vous ne soiyez pas obligé de commencé à lire cela ne vous interresse pas ! )
C'est tous simplement l'histoire d'une jeune femme de 25ans à peu près qui est anéantie par les souvenir de son passé, des souvenirs horrible qu'elle n'arrive plus à géré.
Elle est dans un gouffre immense dont elle 'narrive à s'en sortir, une colère et de la souffrance qu'elle n'arrive pas à exteriorisé face à tout ce passé qui la hante. Elle utilise beaucoup de manière peu ortodoxe je dirai pour exteriorisé, mais vous découvrirais tout ça en lisant!
C'est écris sous forme de journal ou de memoire en quelque sorte, en général c'est ecris à la prmeière personne car l'histoir sort de la bouche de l'héroine elle même!
Bon je vous met le debut ! Bonne lecture à tous ceux qui liront !
Le désespoir infernal
Chapitre 1
Il y à des rêves, comme des souvenirs qui nous échappent, comme il y à des rêves ou des souvenirs qui nous terrifie, mais il y à aussi ceux qui nous apportent quelque tendre souvenirs.
Je ne dirait pas que j’en est hérité de beaucoup, mais il y en à quand même quelque un qui mon apporter un peu le sourire.
Un peu comme une douce caresse effleurant votre bras, ou un tendre baisé à la commissure des lèvres déposé par un amant fougueux.
Puis il y à les drôles d’impressions, comme un effleurement du bout des doigts dans le creux de mon dos, ou une chaleur réconfortante, à mes côté quand la nuit tombé je vais me couché.
Comme voulant m’apporté le réconfort avec des bras puissant qui viendrais m’entouré et m’apporter la sécurité d’un foyer.
Et j’en oublierai presque que je suis célibataire, et que tous cela ne sont que des illusions.
Les souvenirs me hantes, ils s’accrochent à moi, me poursuive même dans le noir des mes rêves, ils sont mes cauchemars, ils sont mon passé.
Pourtant il m’arrive encore de pensée que pendant ces rare fois ou je m’accorde de dormir, ou mon corps épuisait me dit stop, il m’arrive de ne plus pensée à rien, de ne plus pensée à lui, à ces yeux me regardant de haut en bas, à son sourire milieux qui me dégoute, à son corps inerte, étendue par terre, moi le soutenant que avec le peu de force qu’il me resté.
Je me revoie encore, ce jour la, le regard vague ne sachant plus quoi faire, seulement attendre le moment fatidique, ou la mort elle-même viendrais à son tour m’emportée. Mais pour moi cette heure la n’à pas sonné ce jour la. Elle n’a d’ailleurs jamais sonné depuis ce jour.
Ça fait presque 1an maintenant, un an ou les souvenirs me ravage, ou une seule idée m’obsède, un an que mon corps et devenue le souffre douleur d’une désespéré qui ne sais pas crié sa douleur, qui ne sais pas hurlé sa haine.
Mais pourtant je continue d’avance, avec mes marques, essayant d’oublié la déchirure qu’à subit mon cœur, essayant de cautérisé les plaies que toutes ces réminiscence on laissée derrière elles.
Et je poursuit tant bien que mal, mon chemin, essayant de trouvé ma route, essayant de menée une vie, la mienne, celle que j’aurai du avoir, celle que j’ai tant souhaité obtenir pendant toutes ces années.
Mais chaque journée, chaque pas que je fait, est chaque fois un peu plus horrible. Chaque heure, chaque minutes m’offre de nouveau ces horrible images.
Je ne suis pas du genre à abandonné, ni une de ces personnes qui parle à tort et à travers de leurs problèmes, alors je crie en silence, et supplie de temps en temps pour que quelqu’un m’entende, mais ça n’arrive pas, en fait c’est arrivé que bien plus tard.
A un moment ou je ne voulais plus qu’on m’entende. A un moment ou je voulais juste trouvé la paix, et ne plus à avoir à supporté ma souffrance.
Pour l’instant j’essaie d’oublié, de survivre, de continué ma route avec ces aléa comme on dit, alors je me noie dans le travail, n’arrête jamais de faire différentes taches, Je me m’acharne jusqu’au bout de mes limites, et conduit même mon corps jusqu’à l’épuisement.
J’y laisse mes pensées, ma sueur, et mon âme, j’en oublie ma chair elle-même, ce qui me permet de ne pensée à rien d’autre.
Mais c’est sans compté que un jour votre corps vous dit stop, ça suffit, il faut arrêté.
Et ce jour la, vous tombé, votre corps ne vous obéis plus, votre cerveau tourne tellement vite, que vous n’arrivé plus à suivre, puis votre rythme cardiaque s’accélère jusqu’à ce qu’il s’arrête. Votre cœur ne bat plus et vous fermé les yeux. J’ai toujours eu l’impression de ne voyagé que dans du noir, ma vie elle-même étant un enfer, mon cœur n’a jamais battue pour quelque chose qui en valait la peine, mais cette expérience fait tout de même un drôle d’effet je me doit de l’avoué.
Ce jour la je suis tombé, je me suis tout simplement évanouie, je sais pas si mon cœur c’est arrêté mais je ne crois pas, disons que ça en était pas loin. C’Est-ce que le médecin lui-même me dira un peu plus tard. Quand épuisait je sortirait de ma torpeur passagère.
Et c’est une semaine plus tard que je me réveilla à l’hôpital, des tuyaux partout, ne pouvant pas bougé, la vue floue, et la respiration saccadé.
Une infirmière à mes côtés, qui me pris la main, quelque minute, puis elle m’enleva tous ces tuyaux avant de me jette un de ces regards remplis de pitié qui vous fait vomir. Je détourna le regard presque immédiatement ne pouvant accepté un tel regard, et elle quitta la chambre une fois qu’elle eu terminé, surement pour allé prévenir le médecin que j’était réveillé.
Mais à ce moment la j’en avait cure, qu’un médecin vienne m’ausculté, qu’une infirmière me regarde avec de la pitié. En fait j’en voulais à la terre entière qu’une fois de plus on ne m’ai pas offert ce que je désirait tant.
Je ne suis pas une de ces personnes qui n’est pas reconnaissante au contraire, je sais que beaucoup de personne remercierai dieu lui-même si c’était possible, pour avoir survécut, mais, moi à ce moment la, allongé sur ce lit d’hôpital, j’aurai maudit dieu en personne pour m’avoir laissé survivre.
Je ne souhaité qu’une chose, que la paix me gagne enfin, que cette souffrance s’arrête simplement.
Oublié tous ce que j’avais pu vivre et ne me consacré qu’au jour présent, mais une fois de plus ce que je voulais compté peu, comparé à ce que tous les autres voulaient. Une situation que je connaissait tellement bien.
Mais je ne put me lamenté un peu plus sur mon propre sort car, la porte de ma chambre s’ouvrit, et un homme en blouse blanche s’approcha de mon lit. Surement le médecin, il tenait un dossier entre ces main, qui devait être certainement le mien. Il avança nonchalamment, il était plutôt charmant d‘une quarantaine d‘année, de grande taille, des cheveux brun quelque peu grisonnant ce qui lui donné un air asses sur de lui, des yeux d’un bleu clair magnifique, et une carrure tous ce qu’il y à de plus normale.
En dehors de ces heures de travail cet homme devait faire de la musculature pour ce tenir en forme.
J’était peut être dans un gouffre gigantesque, une jeune femme désespéré, avec des sentiments que je n’arrivait pas à géré, mais je savais quand même encore reconnaitre de la beauté quand j’en voyait.
Je poussa un discret soupire, avant de m’enfoncé un peu dans mes oreilles. Pendant que le médecin s’approcha de moi pour m’ausculté.
Une fois qu’il eu finit de prendre ma tension, de vérifier mes reflexes, et d’écouté mon rythme cardiaque, il posa doucement son stéthoscope autour de son cou, et s’assis tranquillement à mes côtés. Il me regarda de ces yeux bleu et j’eu comme l’impression qu’il me transpercé de part en part.
C’était l’une de ces désagréable sensation que l’on ressent, comme si quand cette personne vous regardé elle voulais ce plongé un peu plus profondément en vous pour tous savoir.
-« Bonjour Anael, je suis le docteur Richard Karkof! »
-« Bonjour docteur! »
Ma voix était quelque enraille de ne pas avoir servie depuis plusieurs jours, mais j’en avait autant rien n’a faire qu’une mouche qui vole.
Tout ce que je voulais c’était quitté cet hôpital et rentré chez moi.
-« Quand pourrais je rentré chez moi? »
-« Pas tout de suite Anael, je le crains, vous avez échappé de peu à la mort vous savez.
Vous rappelez vous quoique ce sois avant de vous réveillez ici? Vous rappelez vous ce qui c’est passé? »
- « Je me souviens mettre évanouie à mon travail, c’est tous ce dont je me rappel. »
- « Très bien! Mais c’est bien plus grave que ça, voyait vous.
Vous avez êtes arrivé ici, vous étiez en sous alimentation, déshydraté, votre rythme cardiaque à battue tous ce que j’ai bien pus voir ici depuis que je travail dans cet hôpital.
Quand à votre tension elle n’était que à 6,5, c’est extrêmement bas, votre sang n’irriguait plus les parties les plus importante de votre corps et de votre système aussi.
Qui plus est vous étiez totalement épuisait, et je ne parle pas seulement de fatigue, je parle de tous votre corps, vos muscle, votre cœur tous étaient épuisait.
En gros ce que j’essai de vous dire, c’est que votre cœur et votre cerveau on faillit tous les deux lâche.
Depuis quand n’avez-vous pas, mangé, but plus d’un verre d’eau, ou dormie plus d’une demie heure? »
A ce moment la je me rappela quelque chose que mon père me répété souvent. Il était tous sauf un modèle et dire que je le méprisé serai encore trop faible, mais c’est parole coule encore comme de l’eau dans mon esprit. Et je me souvenue qu’il me disait toujours que la feinte était la meilleure des choses pour ce sortir d’une situation dans laquelle on était et dont on avait pas envie de s’expliqué.
J’en avait fait l’expérience plus d’une fois, et chaque fois avait réussis asses bien, mais jamais encore je n’avait fait une feinte aussi surprenante.
Jamais je n’avais été aussi rapide et aussi sur de moi en avançant de tel mensonge.
Je me surpris moi-même, et me détesta en même temps, cet homme, ce médecin était la pour m’aidé, et il venait de me sauvé la vie.
Même si ce que je souhaité n’était pas de vivre je l’a lui devait, mais les habitudes étant plus forte je ne put m’empêché de mentir une fois de plus.
- « Je ne voie pas de quoi vous voulez parlé docteur. Je vous assure, que je mange tous les jours, et que je dort d’un sommeil de plomb.
Je ne sais pas ce qui c’est passé. »
-« Bien, si vous le dites.
Mais vous recevrez des visites, plusieurs visites dans le mois, quand vous serez rentré chez vous. Pour votre bien. »
Il commença à ce levé et à quitté la chambre quand je l’interpella une dernière fois.
- « Qu’entendait vous par « Plusieurs visites dans le moi? » docteur? »
- « J’entend par « plusieurs visites » que plusieurs fois par mois, il y aura une personne qualifié qui vous rendra visite, pour vous réapprendre à avoir une hygiène de vie saine. Mangé tous les jours, et dormir toute une nuit entière. Passé une bonne journée Anael, et reposé vous surtout. Vous avez faillit mourir rappelez vous en. »
- « C’est peut être ce qui aurai du arrivé, ça aurai été beaucoup mieux. »
Je n’avait que murmuré cette phrase, mais encore aujourd’hui je me demande si le docteur Karkof ne l’avais pas correctement entendue. Et ces dernier mot résonne encore toujours dans ma tête comme un violent écho. « Rappelez vous en » avait t’il dit. Oui je m’en suis rappelé et je n’ai même jamais oublié ce que cette accident m’avais apporté comme sensation. Les souvenirs de ce noir total, l’abandon de soie, en croyant que c’était la fin. Non je n’ai jamais oublié.
Quand le docteur Karkof quitta ma chambre je ne réalisé par encore tout à fait ce que allait être ces visites, c’est que bien plus tard, quand elles commencèrent que j’en pris vraiment conscience.
Car ce n’était pas simplement une personne qualifié dont j’hérité, mais plutôt d’une Baby Sitter à temps plein.
Mais je savais pas encore que tous ceci était fait pour me protégé. Me protégé de la seule personne encore en vie pour me faire du mal, moi-même, je devrai dire même que j’était la pire de toute les personne qui on put m’en faire. Mais je ne réalisa tous ceci que bien après.
Je ne m’attarda pas trop sur mes pensées, car comme l’avais dit le docteur Karkof j’était épuisait, et je m’endormie bien vite pour rejoindre le noir de mes cauchemars. Des cauchemars dont je pensé qu’ils étaient depuis longtemps enfoui dans l’oublie de mes souvenirs.
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Voila !