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 Le désespoir Infernal

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kelly
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MessageSujet: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 18 Juin - 14:19

Rappel du premier message :

Bon voila comme vous êtes interressé, j'ouvre ce topic pour!
J'espère que ce premier chapitre vous plaira, et que ça vous donnera envie de lire la suite!

Titre : Le désespoir infernal
Genre : Drame (pourquoi changé mes habitudes lol) mais il y aura aussi de la romance!
Sinon tous m'appartient, les personnages ainsi que l'histoire bien evidemment!
Résumé : (Je vais vous en faire un cour pour que vous ne soiyez pas obligé de commencé à lire cela ne vous interresse pas ! )
C'est tous simplement l'histoire d'une jeune femme de 25ans à peu près qui est anéantie par les souvenir de son passé, des souvenirs horrible qu'elle n'arrive plus à géré.
Elle est dans un gouffre immense dont elle 'narrive à s'en sortir, une colère et de la souffrance qu'elle n'arrive pas à exteriorisé face à tout ce passé qui la hante. Elle utilise beaucoup de manière peu ortodoxe je dirai pour exteriorisé, mais vous découvrirais tout ça en lisant!
C'est écris sous forme de journal ou de memoire en quelque sorte, en général c'est ecris à la prmeière personne car l'histoir sort de la bouche de l'héroine elle même!
Bon je vous met le debut ! Bonne lecture à tous ceux qui liront !

Le désespoir infernal

Chapitre 1

Il y à des rêves, comme des souvenirs qui nous échappent, comme il y à des rêves ou des souvenirs qui nous terrifie, mais il y à aussi ceux qui nous apportent quelque tendre souvenirs.
Je ne dirait pas que j’en est hérité de beaucoup, mais il y en à quand même quelque un qui mon apporter un peu le sourire.
Un peu comme une douce caresse effleurant votre bras, ou un tendre baisé à la commissure des lèvres déposé par un amant fougueux.
Puis il y à les drôles d’impressions, comme un effleurement du bout des doigts dans le creux de mon dos, ou une chaleur réconfortante, à mes côté quand la nuit tombé je vais me couché.
Comme voulant m’apporté le réconfort avec des bras puissant qui viendrais m’entouré et m’apporter la sécurité d’un foyer.
Et j’en oublierai presque que je suis célibataire, et que tous cela ne sont que des illusions.
Les souvenirs me hantes, ils s’accrochent à moi, me poursuive même dans le noir des mes rêves, ils sont mes cauchemars, ils sont mon passé.
Pourtant il m’arrive encore de pensée que pendant ces rare fois ou je m’accorde de dormir, ou mon corps épuisait me dit stop, il m’arrive de ne plus pensée à rien, de ne plus pensée à lui, à ces yeux me regardant de haut en bas, à son sourire milieux qui me dégoute, à son corps inerte, étendue par terre, moi le soutenant que avec le peu de force qu’il me resté.
Je me revoie encore, ce jour la, le regard vague ne sachant plus quoi faire, seulement attendre le moment fatidique, ou la mort elle-même viendrais à son tour m’emportée. Mais pour moi cette heure la n’à pas sonné ce jour la. Elle n’a d’ailleurs jamais sonné depuis ce jour.
Ça fait presque 1an maintenant, un an ou les souvenirs me ravage, ou une seule idée m’obsède, un an que mon corps et devenue le souffre douleur d’une désespéré qui ne sais pas crié sa douleur, qui ne sais pas hurlé sa haine.
Mais pourtant je continue d’avance, avec mes marques, essayant d’oublié la déchirure qu’à subit mon cœur, essayant de cautérisé les plaies que toutes ces réminiscence on laissée derrière elles.
Et je poursuit tant bien que mal, mon chemin, essayant de trouvé ma route, essayant de menée une vie, la mienne, celle que j’aurai du avoir, celle que j’ai tant souhaité obtenir pendant toutes ces années.
Mais chaque journée, chaque pas que je fait, est chaque fois un peu plus horrible. Chaque heure, chaque minutes m’offre de nouveau ces horrible images.
Je ne suis pas du genre à abandonné, ni une de ces personnes qui parle à tort et à travers de leurs problèmes, alors je crie en silence, et supplie de temps en temps pour que quelqu’un m’entende, mais ça n’arrive pas, en fait c’est arrivé que bien plus tard.
A un moment ou je ne voulais plus qu’on m’entende. A un moment ou je voulais juste trouvé la paix, et ne plus à avoir à supporté ma souffrance.
Pour l’instant j’essaie d’oublié, de survivre, de continué ma route avec ces aléa comme on dit, alors je me noie dans le travail, n’arrête jamais de faire différentes taches, Je me m’acharne jusqu’au bout de mes limites, et conduit même mon corps jusqu’à l’épuisement.
J’y laisse mes pensées, ma sueur, et mon âme, j’en oublie ma chair elle-même, ce qui me permet de ne pensée à rien d’autre.
Mais c’est sans compté que un jour votre corps vous dit stop, ça suffit, il faut arrêté.
Et ce jour la, vous tombé, votre corps ne vous obéis plus, votre cerveau tourne tellement vite, que vous n’arrivé plus à suivre, puis votre rythme cardiaque s’accélère jusqu’à ce qu’il s’arrête. Votre cœur ne bat plus et vous fermé les yeux. J’ai toujours eu l’impression de ne voyagé que dans du noir, ma vie elle-même étant un enfer, mon cœur n’a jamais battue pour quelque chose qui en valait la peine, mais cette expérience fait tout de même un drôle d’effet je me doit de l’avoué.
Ce jour la je suis tombé, je me suis tout simplement évanouie, je sais pas si mon cœur c’est arrêté mais je ne crois pas, disons que ça en était pas loin. C’Est-ce que le médecin lui-même me dira un peu plus tard. Quand épuisait je sortirait de ma torpeur passagère.
Et c’est une semaine plus tard que je me réveilla à l’hôpital, des tuyaux partout, ne pouvant pas bougé, la vue floue, et la respiration saccadé.
Une infirmière à mes côtés, qui me pris la main, quelque minute, puis elle m’enleva tous ces tuyaux avant de me jette un de ces regards remplis de pitié qui vous fait vomir. Je détourna le regard presque immédiatement ne pouvant accepté un tel regard, et elle quitta la chambre une fois qu’elle eu terminé, surement pour allé prévenir le médecin que j’était réveillé.
Mais à ce moment la j’en avait cure, qu’un médecin vienne m’ausculté, qu’une infirmière me regarde avec de la pitié. En fait j’en voulais à la terre entière qu’une fois de plus on ne m’ai pas offert ce que je désirait tant.
Je ne suis pas une de ces personnes qui n’est pas reconnaissante au contraire, je sais que beaucoup de personne remercierai dieu lui-même si c’était possible, pour avoir survécut, mais, moi à ce moment la, allongé sur ce lit d’hôpital, j’aurai maudit dieu en personne pour m’avoir laissé survivre.
Je ne souhaité qu’une chose, que la paix me gagne enfin, que cette souffrance s’arrête simplement.
Oublié tous ce que j’avais pu vivre et ne me consacré qu’au jour présent, mais une fois de plus ce que je voulais compté peu, comparé à ce que tous les autres voulaient. Une situation que je connaissait tellement bien.
Mais je ne put me lamenté un peu plus sur mon propre sort car, la porte de ma chambre s’ouvrit, et un homme en blouse blanche s’approcha de mon lit. Surement le médecin, il tenait un dossier entre ces main, qui devait être certainement le mien. Il avança nonchalamment, il était plutôt charmant d‘une quarantaine d‘année, de grande taille, des cheveux brun quelque peu grisonnant ce qui lui donné un air asses sur de lui, des yeux d’un bleu clair magnifique, et une carrure tous ce qu’il y à de plus normale.
En dehors de ces heures de travail cet homme devait faire de la musculature pour ce tenir en forme.
J’était peut être dans un gouffre gigantesque, une jeune femme désespéré, avec des sentiments que je n’arrivait pas à géré, mais je savais quand même encore reconnaitre de la beauté quand j’en voyait.
Je poussa un discret soupire, avant de m’enfoncé un peu dans mes oreilles. Pendant que le médecin s’approcha de moi pour m’ausculté.
Une fois qu’il eu finit de prendre ma tension, de vérifier mes reflexes, et d’écouté mon rythme cardiaque, il posa doucement son stéthoscope autour de son cou, et s’assis tranquillement à mes côtés. Il me regarda de ces yeux bleu et j’eu comme l’impression qu’il me transpercé de part en part.
C’était l’une de ces désagréable sensation que l’on ressent, comme si quand cette personne vous regardé elle voulais ce plongé un peu plus profondément en vous pour tous savoir.
-« Bonjour Anael, je suis le docteur Richard Karkof! »
-« Bonjour docteur! »
Ma voix était quelque enraille de ne pas avoir servie depuis plusieurs jours, mais j’en avait autant rien n’a faire qu’une mouche qui vole.
Tout ce que je voulais c’était quitté cet hôpital et rentré chez moi.
-« Quand pourrais je rentré chez moi? »
-« Pas tout de suite Anael, je le crains, vous avez échappé de peu à la mort vous savez.
Vous rappelez vous quoique ce sois avant de vous réveillez ici? Vous rappelez vous ce qui c’est passé? »
- « Je me souviens mettre évanouie à mon travail, c’est tous ce dont je me rappel. »
- « Très bien! Mais c’est bien plus grave que ça, voyait vous.
Vous avez êtes arrivé ici, vous étiez en sous alimentation, déshydraté, votre rythme cardiaque à battue tous ce que j’ai bien pus voir ici depuis que je travail dans cet hôpital.
Quand à votre tension elle n’était que à 6,5, c’est extrêmement bas, votre sang n’irriguait plus les parties les plus importante de votre corps et de votre système aussi.
Qui plus est vous étiez totalement épuisait, et je ne parle pas seulement de fatigue, je parle de tous votre corps, vos muscle, votre cœur tous étaient épuisait.
En gros ce que j’essai de vous dire, c’est que votre cœur et votre cerveau on faillit tous les deux lâche.
Depuis quand n’avez-vous pas, mangé, but plus d’un verre d’eau, ou dormie plus d’une demie heure? »
A ce moment la je me rappela quelque chose que mon père me répété souvent. Il était tous sauf un modèle et dire que je le méprisé serai encore trop faible, mais c’est parole coule encore comme de l’eau dans mon esprit. Et je me souvenue qu’il me disait toujours que la feinte était la meilleure des choses pour ce sortir d’une situation dans laquelle on était et dont on avait pas envie de s’expliqué.
J’en avait fait l’expérience plus d’une fois, et chaque fois avait réussis asses bien, mais jamais encore je n’avait fait une feinte aussi surprenante.
Jamais je n’avais été aussi rapide et aussi sur de moi en avançant de tel mensonge.
Je me surpris moi-même, et me détesta en même temps, cet homme, ce médecin était la pour m’aidé, et il venait de me sauvé la vie.
Même si ce que je souhaité n’était pas de vivre je l’a lui devait, mais les habitudes étant plus forte je ne put m’empêché de mentir une fois de plus.
- « Je ne voie pas de quoi vous voulez parlé docteur. Je vous assure, que je mange tous les jours, et que je dort d’un sommeil de plomb.
Je ne sais pas ce qui c’est passé. »
-« Bien, si vous le dites.
Mais vous recevrez des visites, plusieurs visites dans le mois, quand vous serez rentré chez vous. Pour votre bien. »
Il commença à ce levé et à quitté la chambre quand je l’interpella une dernière fois.
-  « Qu’entendait vous par « Plusieurs visites dans le moi? » docteur? »
- « J’entend par « plusieurs visites » que plusieurs fois par mois, il y aura une personne qualifié qui vous rendra visite, pour vous réapprendre à avoir une hygiène de vie saine. Mangé tous les jours, et dormir toute une nuit entière. Passé une bonne journée Anael, et reposé vous surtout. Vous avez faillit mourir rappelez vous en. »
- « C’est peut être ce qui aurai du arrivé, ça aurai été beaucoup mieux. »
Je n’avait que murmuré cette phrase, mais encore aujourd’hui je me demande si le docteur Karkof ne l’avais pas correctement entendue. Et ces dernier mot résonne encore toujours dans ma tête comme un violent écho. « Rappelez vous en » avait t’il dit. Oui je m’en suis rappelé et je n’ai même jamais oublié ce que cette accident m’avais apporté comme sensation. Les souvenirs de ce noir total, l’abandon de soie, en croyant que c’était la fin. Non je n’ai jamais oublié.
Quand le docteur Karkof quitta ma chambre je ne réalisé par encore tout à fait ce que allait être ces visites, c’est que bien plus tard, quand elles commencèrent que j’en pris vraiment conscience.
Car ce n’était pas simplement une personne qualifié dont j’hérité, mais plutôt d’une Baby Sitter à temps plein.
Mais je savais pas encore que tous ceci était fait pour me protégé. Me protégé de la seule personne encore en vie pour me faire du mal, moi-même, je devrai dire même que j’était la pire de toute les personne qui on put m’en faire. Mais je ne réalisa tous ceci que bien après.
Je ne m’attarda pas trop sur mes pensées, car comme l’avais dit le docteur Karkof j’était épuisait, et je m’endormie bien vite pour rejoindre le noir de mes cauchemars. Des cauchemars dont je pensé qu’ils étaient depuis longtemps enfoui dans l’oublie de mes souvenirs.

**************************

Voila !


Dernière édition par kelly le Mer 2 Déc - 21:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:09

kelly a écrit:


Citation :
Mais pourquoi tout le monde m'appelle Sam ?

Mince je t'ai appelé Sam désolé j'ai confondue mdr !!

c'est pas grave mdr
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:13

Oui enfin ça le fait pas quand même mdr !!
Je regarderai mieux la prochaine fois surtout que j'aurai du me rendre compte rien que avec les bans mdr, elles sont totalement differente !
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:15

Si vous changiez pas sans arrêt de kit , vous seriez plus facile à identifier au premier coup d'oeil bored
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:17

kelly a écrit:
Oui enfin ça le fait pas quand même mdr !!
Je regarderai mieux la prochaine fois surtout que j'aurai du me rendre compte rien que avec les bans mdr, elles sont totalement differente !

mdr oui on a pas les meme bann mais ne t'en fais pas moi dans la vie de tout les jours j'ai droit a "hey sandrine" heu ouai sauf que moi c'est séverine, mais le pire c'ets que ce sont des gens que je connais depuis un petit moment mais ils ont une collegue qui s'appelle sandrine donc voila (je sais pas je doit lui ressembler ou je en sais quoi mdr)

et en primaire avec une de mes amie les instit' nous confondé souvent donc là c'était "priscilia" mdr

donc j'ai l'habitude mdr


PS: j'ai changé que mon avatar mdr
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:19

mdr!!
Ca m'est arrivé aussi d'être confondue avec une amie quand j'était en primaire, mais ça c'est arrêté heureusement lol!!

Mais au bout d'un moment quand c'est tout le temps ça doit être prise de tête quand même, même si tu es habitué non? !!!

Oui j'avais remarqué pour ton avatar il est super joli en plus de ça !
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:21

kelly a écrit:
mdr!!
Ca m'est arrivé aussi d'être confondue avec une amie quand j'était en primaire, mais ça c'est arrêté heureusement lol!!

Mais au bout d'un moment quand c'est tout le temps ça doit être prise de tête quand même, même si tu es habitué non? !!!

Oui j'avais remarqué pour ton avatar il est super joli en plus de ça !

merci pour mon avatar Smile

et oui en primaire ça a cesser car elle a demenager mdr

et non ça va heureusement que c'est pas tous les jours mdr mais je le prend a la rigolade (par contre si c'étais mon mec là je me poserais des questions mdr, mais bon ça risque pas vu que je suis celib' mdr)
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:23

Citation :
et non ça va heureusement que c'est pas tous les jours mais je le prend a la rigolade (par contre si c'étais mon mec là je me poserais des questions , mais bon ça risque pas vu que je suis celib' )

Je comprendrais ton mec qui ce trompe ;.... y a de quoi ce posé des questions !!

Bon allé je decolé vraiment gros bisous
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Sam 20 Juin - 20:24

ben là oui il y a de quoi mdr

aller bisous bisous
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Lun 22 Juin - 17:43

mdr Sev !!

Bon voila le second chapire :D !!
Je n'est pas corrigé les fautes désolé je n'est absolument pas eu le temps !
Bonne lecture !


Chapitre 2


Mon séjour à l’hôpital dura en tout et pour tous une semaine de plus.
Une semaine ou j’eu droit à des examens diverse au début pour voir si mon état ce remette correctement et si tous les tests ce révélés positif. Puis les autres jours pour diverse chose, comme quelque exercices, pour redonné de la vitalité et de la forces à mes muscles, j’eu même droit à des exercices respiratoire, pour mon rythme cardiaque. Je crois que c’est à ce moment la que je pris vraiment conscience que j’y avait échappé de peu, même si encore à ce moment je m’en fiché.
Puis j’eu droit à quelque visite chez le psy, pour des questions et des remises en question, sur ma négligence envers moi-même. Savoir pourquoi j’avais agis ainsi, et ce qui n’allait pas. Je pense qu’il m’est inutile de précisé que je suis resté muette, et très évasive en ce qui concerna mes réponses sur le sujet.
Je me rappel même avoir rit anguille sous roche pendant ces séances. Car je caché tellement bien mon jeu, que ce psy ne sais jamais aperçut de rien, je disait ce qu’il voulait entendre, et les séances prirent fin. Mais à ce moment la je crois que je ne réalisé même le tiers de mes soucis. En fait à côté du prochain psychologue à qui j‘allais avoir à faire celui-ci était vraiment génial, et beaucoup moins irritant.
Mais on en était au second jour et je commencé à étouffait. J’avais comme l’impression que quelque chose m’oppressait, je ressentait toute cette saleté sur moi; comme une grande tache qui me collé à la peau, j’avais besoin de me lavé, de nettoyait cette saleté.
J’avais comme une douloureuse angoisse qui me tenaille le ventre à un tel point que j’en vomis toute la matinée.
J’avais besoin de me lavé de tous ça, d’extériorisé toute cette souillure, d’atténue toute cette haine.
Mais les larmes n’ayant pas le droit d’apparaitre je ne connaissait qu’une solution pour m’apaisé, une solution que je m’était interdite de pratiqué ici. Les risques d’être découverte était beaucoup trop grand. Alors je tourna en rond dans ma chambre, ouvrant la fenêtre en grand espérant ressentir un peu d’air. Et je commença à me rongé les ongles, aussi fort et aussi loin que je le pouvais sans m’arrêté.
Je ne ressentait pas de douleur, rien, juste cette colère et cette saleté sur moi qui me recouvré, qui m’humilié.
Tout ceci dura un peu plus de deux heures, puis c’est totalement épuisait, une migraine impossible qui me martelé les tempes, que je m’affaissa sur mon lit, et m’allongea, une nausée comme j’en avait encore jamais eu, me tenait par la gorge, je respiré la bouche ouverte, et je m’endormie sans autre préambule, le feu au joue, des coups de marteau qui résonné dans ma tête et les doigts en sang.
Mais comme à chaque fois que je me laissé allé à dormir, je fut de nouveau propulsé dans un de ces lieux qui me terrifié. Ils étaient diverses, mais le pire était cette pièce, un bureau, son bureau à lui, à chaque fois que j’y mettais seulement le pied, je me sentait déjà tremblait de la tête au pied. Je m’étais toujours promis que jamais plus je n’y reviendrais, et voila que à présent j’était enfermé à l’intérieur, mes pieds refusant de m’obéir, pour allé ouvrir la porte, et je resta la plusieurs minutes, des minutes qui me semblaient être une éternité. Quand tout à coup le noir absolue m’enveloppa, c’était comme un brouillard, je ne voyait même pas ma main devant moi, j’était comme désorienté, mes sens à l’affut du moindre bruit. Mon cœur s’emballa très vite, tellement vite que j’eu l’impression de manqué plusieurs battement, il me faisait mal et il était comme prêt à ce rompre dans ma poitrine. Aucun bruit ne venait perturbait ce silence pesant, jusqu’à ce que tellement préoccupé par ma peur, je ne pris pas conscience tout de suite de ce souffle chaud dans ma nuque. Inconsciemment je savais qu’il était derrière moi, et que de nouveau tout allé recommencé, je voulue crié de toute mes forces, mais je ne réussie que à ouvrir la bouche en grand, mais aucun son n’en sortie, je resta misérablement muette. Je m’épuisait à essayé de hurlé sans aucun succès. Puis un bruit horrible me transperça le corps, il me passa partout, à m’en déchiré les oreilles, et les entrailles. Je plaqua mes mains sur mes oreilles sans pour autant atténué ce bruit immonde qui monté un peu plus en moi, c’était comme un cri… Un cri tellement strident, tellement désespéré qu’il me prenait à la gorge. Involontairement je tomba à genoux, les mains toujours plaqué contre mes oreilles, quand deux mains jaillir de nulle part et m’attrapèrent les épaules pour m’attiré avec elles dans le noir. Ce n’est que à ce moment la, que je réalisa que ce crie immonde, ce crie qui semblait être désespéré, ce crie de terreur, était le mien, celui que je pensé ne pas réussir à sortir du fond de ma gorge.
Je ne me réveilla que quelque heures plus tard, en sursaut et en sueur. Il devait être 18H30 voir peut être 19H. La fenêtre avait été fermé, et la chambre était plongé dans le noir, ce même noir qui m’avais ensevelie dans mon cauchemar. Ce même cauchemar qui me terrifié encore une fois les yeux ouvert, et enfermé dans ma chambre d’hôpital et non plus dans ce bureau.
Le martellement dans ma tête n’avait pas cessé, et j’avais comme l’impression que ma tête était devenue du plomb, il m’était impossible de la bougé, ou de pensée, chaque exercices me faisait l’effet d’un coup de massue dans le crane. Puis je voulut bougé mes doigts, mais la aussi impossible, sur le coup je cru que j’était encore enfermé dans un de mes cauchemars, mais je me rendit compte qu’une petite douleur aigue me transperçait les mains des que j’essayé de bougé un doigt. Je n’était pas enfermé dans un rêve, j’était juste étendue sur mon lit d’hôpital, avec pour enveloppe charnel tout un corps rompu de douleur.
-  « Ne remue pas trop les mains, elles sont bandées. »
Avec la migraine qui me battée au tempes je ne reconnue pas tout de suite la voix qui venait de me parlé, il me fallut plusieurs seconde pour me rappelé à qui elle appartenait et comprendre que cette personne était juste à côté de moi.
Je voulue remué, mais le mal de tête, plus la douleur dans mes mains, m’en dissuada à la première tentative.
- « Mora? C’est toi? »
- « Oui c’est moi! Désolé de ne pas être venue plus tôt, mais on ne m’a prévenue que hier soir, et j’ai pris le premier vol que j’ai put avoir pour venir te rejoindre. Et quand je suis arrivé je t’est trouvé endormie, les mains en sang. A quoi tu joue Ana? »
-  « A rien je te le jure! »
- « Ne me ment pas s’il te plait. Je te perd de vue pendant presque 5ans et quand on me donne de t’est nouvelles c’est pour me dire que tu es à l’hôpital et que tu as échappé de peu à la mort, ça ne t’a pas suffit notre enfance, il faut en plus que tu te fasse du mal toi-même! »
- « C’est vrai j’avais oublié, je devrai être reconnaissante c’est ça! Tu en à rien à ciré de moi de toute façon! Tu ne sais absolument pas ce que je vis. »
- « Comment Est-ce que tu peut dire une telle chose … Je crois que je t’aime plus que … Mais ça n’a pas d’importance, c’est terminé, tous est terminé . Et tu devrais te contenté d‘oublié Anael, pour ton bien. Tu ne peut pas vivre avec tout ça.»
- « Oui, mais je ne suis pas comme toi Mora, j’arrive pas à oublié, chaque jours c’est un peu plus douloureux. Je sais pas comment toi-même tu arrives à ne pas y pensé. »
Un silence de plomb s’abattit sur nous d’un coup. Comme si les souvenirs revenaient nous hantés toute les deux, avant que je reprenne la parole, essayant vainement de chassé mes dernières paroles.
- « Tu vas resté combien de temps? »
- « Aussi longtemps que tu aura besoin de moi ma chérie. »
Je crois que je peut dire que Mora à toujours était la seule à réussir à me calmé dans mes moments les plus angoissants.
Elle à toujours été ma boussole et moi la sienne, c’est fou mais j’avais refusait de la voir pendant ces cinq dernières années, mais la, la revoir m’avais fait comme une bouffé d’air fraiche, elle avait chassé pour quelque temps, tous les mauvais souvenirs. En quelque sorte. Alors je me contenta de profité juste de sa présence.
Pour l’instant il n’y avait que ça qui m’importé. Ce soir la je me rendit compte que la fuir n’avait en fin de compte servit à rien, ça ne m’avais pas permis d’oublié, bien au contraire, je pense que sa m’a enfoncé un peu plus. La seule personne qui était susceptible de m’aidé à ne pas sombré et je l’avais renié de ma vie sans aucune forme de politesse. Je ne mérité pas qu’elle revienne auprès de moi, je ne mérité pas sa gentillesse, ni son amour, mais comment pouvais-je vivre sans.
Mora était tout pour moi, d’ailleurs elle est toujours tout pour moi. Elle est mon essence, ma force pour avancé, ma sœur, ma jumelle.
Mais je ne savais pas encore tous ça, je ne savais pas encore qu’elle compté temps, et surtout je ne savais pas encore qu’il m’était autant possible de faire souffrir l’une des seules personnes que j’aimé le plus au monde.
On avait grandie dans la même maison, vécut en tout et pour tout presque les mêmes horreurs, supporté les mêmes souffrances, mais elle, elle était plus dur, et elle savait mieux affrontés que moi les souvenirs.Elle à toujours été la plus fortes de nous deux, moi je me suis contenté d’existé auprès d’elle, parce qu’elle supporté tous mes fardeaux, jusqu’au jours ou j’ai crue sombré.
Je lui doit tous, et encore ce mot et faible, je lui doit de vivre.
Mais allongé sur ce lit d’hôpital, je n’avais encore aucune reconnaissance pour tout ce qu’elle avait fait pour moi, pour tous ce qu’elle avait enduré pour moi.
Pour l’instant j’était en colère et elle était en quelque sorte mon souffre douleur à défaut de ne pouvoir avoir mon propre corps. Et pourtant elle supporté ça aussi sans rien dire, elle à tout supporté jusqu’au dernier gestes, jusqu’au dernière paroles et même jusqu’au dernière larmes.
Elle ce leva de la chaise dans laquelle, elle était assise, pour venir ce mettre à m’est côté sur le lit. C’est délicatement qu’elle ce posa à coté de moi, s’appuyant le dos sur les oreilles et elle me pris doucement dans ces bras, sans que je le lui demande, sans qu’elle me demande l’autorisation, elle plaqua ma joue, bouillante contre sa poitrine, ou j’entendis son cœur qui batte à tout rompre, résonné dans mes oreilles, bizarrement ce son me calma, il me rasséréna en quelque sorte, mon mal de tête s’atténua quelque peu, sous les caresses qu’elle prodigué à mon cuir chevelue, et je ferma les yeux écoutant seulement son cœur battre.
J’avais comme l’impression qu’elle avait eu vraiment peur pour moi, elle m’embrassa sur les cheveux avant de poussé un délicat soupir. C’était bizarre comme expression, et encore plus à expliqué, mais en sa présence, je me trouvé enfin normal, j’était seulement moi, en sa présence je revivais en quelque sorte.
- « Ne me refait jamais une peur pareil tu m’entend, j’ai crue … Que mon cœur allé lâché quand j’ai reçut cet appel Ana. Si tu n’avais pas survécut … »
C’était la première fois que je voyais ma sœur, assumé autant ces sentiments, c’était la première fois qu’elle me montré qu’elle avait vraiment eu peur pour moi. Alors que jamais auparavant elle n’avais pris le risque de montré quoique ce sois, même pas le jour ou j’ai eu un grave accident de voiture, et que je suis resté à l’hôpital pendant deux semaines, elle était resté de marbre, assumant toute les tâches administrative pour l’hôpital, s’occupant de tous pour que j’ai un certain un confort, étant donné que nos parents n’en avait rien à faire.
Mais à ce moment la, elle ne ce contentai plus d’être seulement une mère de substitution, elle était plus seulement celle qui prenait en charge sa sœur parce que c’est stupide de parent ne le faisait pas, elle prenait en même temps son rôle de sœur, et en même temps la peur, qu’elle avait eu de me perdre.
C’était quelque chose d’étrange de la voir si désemparé, elle qui d’ordinaire, était d’un orgueils démesuré. Mais c’était aussi à la fois quelque chose qui me rassura, elle n’était pas invincible comme je me l’était si souvent imaginé, elle n’était pas non plus qu’un mur à qui on ne pouvait pas s’adressé, elle était aussi une personne, une femme qui avait des sentiments, une sœur en qui je pouvais avoir toute confiance.
Je me laissa allé sous ces caresses, appréciant encore plus le son de son cœur qui batte toujours dans sa poitrine, mais qui c’était quelque peu calmé.
- « Tu t’est débattue avec toi-même pour pas m’incendié n’Est-ce pas? »
- « Tu peut pas imaginé combien ça à été dure, mais comment le sais tu? »
- « Ton cœur, il batte fort out à l’heure, il vient juste de ce calmé. »
Je sentie sa poitrine ce soulevé à un rythme rapide et régulier sous ma tête. Elle était en train de rire. Ca faisait tellement longtemps que j’avais pas ressentie la chaleur d’un de ces rires, que ça me fit du bien, un bien fou de la sentir la sous moi, me tenant comme si sa vie à elle-même en dépendait.
- « Je suis contente, que tu sois la Mora! »
- « Moi aussi je suis contente d’être la. »
Je m’endormie presque aussitôt, bercé par sa respiration, et ces caresses. Certes je m’endormie pour rejoindre de nouveau un de ces cauchemars dont je ne me rappel pas précisément ce qui s’y est passé, je ne m’attarderai donc pas sur lui, mais je réussie à m’endormir, ce qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps je suis forcé de l’avoué.

*******************************

Voila le chapitre 3 est en cours d'écriture !
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 25 Juin - 0:42

Merci Kelly!! L'histoire est tellement intéressante que je me réjouis à chaque fois du prochain chapitre! Smile
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 25 Juin - 13:59

alors là Kelly...pas de mots..c'est super! ..vivement la suite calin: j'adoore
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 25 Juin - 14:14

Merci à toute les deux calin: !!
Contente que ça vous plaise !

Le chapitre 3 et en cours d'écriture j'ai bien avancé donc il ne devrai pas tardé !
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 25 Juin - 14:16

Ok!^^ Mais prends ton temps! C'est parce qu'on se réjouis de la suite que ça doit te stresser!!^^
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 25 Juin - 14:20

Ahh non pas du tout rassure toi je ne suis pas stréssé!

Et quand j'écris une histoire j'ai une devise qui est "c'est pas parce que ça plait que tu doit te dépéchait et faire quelque chose de baclé"
Pour moi si ça te plait vraiment tu attend que ça arrivé même si sa doit durée un petit moment!
Je me prend pas la tête t'in quiéte pas et je suis aps stréssé non plus à cause de ça :D !
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 25 Juin - 14:23

Oooooooooooook! Kelly +1!!! Tiens c'est pas ma devise, mais je le dis parfois!^^

Tu as tout à fait raison! Smile
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Jeu 25 Juin - 15:47

très belle devise kelly Smile
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 14:36

Bon voila le Chapitre 3 que je suis obligé de coupé en deux à cause la longueur j'ai horreur quand ça me fait ça mais c'est pas grave !

Chapitre 3

Je me réveilla le lendemain matin, encore une fois en sueur, j’avais encore fait un de ces cauchemars qui me poursuivait, mais cette fois ci sans pour autant m’en rappeler. C’était plus des sensations qui m’habitée ce matin la. Mais ce qui m’interpella au premier abord, c’est le fait que Mora avait disparu, ces affaires n’étaient plus la. C’est stupide de dire ça mais sur le coup, je pensa que j’avais tout imaginée, que je ne m’étais pas réveillée cette nuit, et que ma sœur n’était jamais venue me rendre visite, mais un petit mot posé à côté de mon lit écrit de sa main, me rassura. Elle n’avais pas disparue, et je n’avais pas imaginé tout ce qui c‘était passé cette nuit la, en sommes ça me soulagea je n’était pas folle, j’en avais asses à me souciés avec mes problèmes actuel, pour rajouté en plus le fait que ma santé mentale laissai à désiré.
Elle revint me voir dans la journée et tous les jours jusqu’à ce que je fut sortie de cet hôpital. Elle s’installa même chez moi pour finir, mais je n’en suis pas encore la, donc je vais m’abstenir pour l’instant de m’étendre sur ce passage.
Je m’enfonça un peu plus dans mes oreilles, Mon mal de tête qui la veille me martelé les tempes avait quelque disparue pour laisser place à un élancement continue à l’arrière de ma tête mais je pouvais de nouveau pensée et réfléchir sans que cela ne me donne d’affreuse nausée.
Je tenais dans une de mes mains malgré mes bandages le mot que Mora m’avait laissé. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre une fois que j’aurai quitté cet hôpital, car en quelque sorte il m’apporté une certaine stabilité celle que je n’arrivais pas à avoir à l’extérieur. J’étais entouré, contrôlé dans un sens ça m’empêché de me faire du mal, même si cela m’horripilé plus que tous, je savais que c’était pour mon bien. Mais je savais aussi que quand je serai rentrée chez moi tous recommencerais et même si c’est difficile à accepté je me devait quand même dans un sens d’admettre qu’une fois rentré je serais incapable de me retenir à reprendre ma vie d’avant. Incapable de gardé cette stabilité que cet hôpital à voulut me faire acquérir.
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir voulut essayé, mais je n’arrivais pas à contrôler ce que j‘étais à ce moment la, à contrôler tous ces sentiments qui ce bousculé en moi, chacun luttant pour sortir.
C’était un combat perpétuel que je mené contre moi-même pour garder le contrôle sur moi et sur tous ce qui m’entourais, mais parfois j’avais l’impression de tomber, et c’est comme si c’était eux qui me dictés ce que je devais faire.
Alors à ce moment la, quand je sentais que tous m’échappée j’utilisais la seul solution qui me paraissais encore la meilleure pour moi, même si en fait elle me détruisait à petit feu.
Je ne peut pas dire que j’était heureuse d’être dans cet hôpital, mais j’étais tout de même quelque peu reconnaissante, de toute l’énergie que chacun mettaient à vouloir me faire retrouver un peu gout à la vie, mais j’aurai préféré qu’on me laisse la ou j’était, et surtout qu’on me laisse faire de mon corps ce que je voulais, ce que personne n’était prêt à faire.
C’Est-ce qui fut une longue et éprouvante source de dispute entre Mora et moi par la suite. Le fait que je n’arrivais pas à géré ma vie, à oublié le passé à était pour elle le pire des échecs.
Elle qui avait toujours souhaité et qui souhaite toujours mon bonheur, en tout cas elle avait toujours fait en sorte que je trouve un maximum de joie dans l’enfer que nous vivions.
Malgré ces souffrances je la voyais ce battre pour moi, ce démené jusqu’à en oublié qu’elle existé elle-même.
Je la revoie encore cette nuit la, la première d’une longue série. Je la revoie venir ce coucher à côté de moi dans mon lit, me tenant à bout de bras. Moi qui suis tremblante, choqué et en larme. Moi qui me tient le bas ventre tant j’ai l’impression qu’on viens de me le déchirer.
Je la ressent ce serré contre moi, posant sa joue mouillé dans mon dos brulant. Dans mon dos qui quelque heure auparavant à reçut tous les coups qu’un poing peut donner. Je la ressent posé doucement son front contre une de mes omoplates évitant soigneusement une blessure qui barre mon dos, quand je sent que entre mes jambes un liquide chaud s’écoule et que le lendemain matin en me réveillant je put constater que c’était du sang. Mon propre sang qui c’était écoulé de moi. Puis je la revoie me chuchoter à l’oreille que ça va aller, qu’elle et la à mes côtés et que je ne doit compté que sur elle.
Je sais que après, de nombreuse fois elle c’est sacrifiée pour moi, acceptant sans rien dire une nuit à ma place.
Je m’en veut même parfois de tout ça, de ne pas avoir eu le courage moi-même de me sacrifier pour elle.
Je m’en veut de ne pas avoir agis comme elle, elle le faisait. D’avoir hurlée alors que elle, elle resté silencieuse face à ce qu’elle subissait. De ne pas avoir sue tous supporter aussi bien que elle, elle le supportée.
Tout ça ne fut dit que bien plus tard et je me rendit compte à ce moment la de beaucoup de chose, des choses la concernant. Des choses dont j’aurai aimé connaitre, des choses qui ne fut passé que sous silence car parlé c’est abaissé sa fierté.
Je ne put continuer à m’épancher sur mes pensées car mes doigts commencèrent à violemment m’élancé, quand une infirmière entra dans ma chambre pour m’apporter mon petit déjeuné.
- « Comment aller vous aujourd’hui? »
- « ça va merci! »
Elle conduisit sont petit chariot jusqu’au pied de mon lit, et pris dans ces mains un plateau avec un bol de café et des tartines de pain beurré.
- « Vos doigts ne vous font pas souffrir? »
- « Non ça peut aller! »
Encore une fois je me surpris moi-même de mes propre mensonge car je venait à l’instant de pensée que justement mes doigts me faisait affreusement souffrir. J’esquissa un très discret sourire en pensant à une chose, fierté quand tu nous tiens!

Je me secoua doucement la tête pour m’éclaircir les idées sans réveiller plus que nécessaire mon mal de tête et me releva doucement dans mon lit, m’appuyant le dos contre mes oreilles.
L’élancement qui courrais dans ma tête c’était un peu calmer, mais je ressentais quand même encore une douleur dans l’arrière de la tête ce qui commençait à m’agaçait, j’en pouvais plus de ce mal de tête persistant.
Je fit un petit sourire fatigué à l’infirmière. 
-  « Par contre j’ai mal à la tête depuis hier, et il ne passe pas, j’ai comme des élancements, c’est très désagréable. »
L’infirmière posa la plateau devant moi sur une petite table à roulette, avant de ce déplacer pour aller ouvrir un peu la fenêtre de ma chambre.
- « Je vais aller vous chercher un médicament pour ce mal de tête, je vous ouvre un peu votre fenêtre un peu d’air vous ferra du bien, en attendant prenait votre petit déjeuner, vous avez peut être faim, vous n’avez pas mangée grand-chose hier soir. »
- « Je vous remercie. »
Elle me lança un discret sourire, avant de reprendre son petit chariot et sortir de ma chambre. Je poussa un petit soupir, et bue une petite gorgé de café avant de commencé à manger une de mes tartines de pain, sans réel appétit.
J’avais quelque peu ignoré ça dernière phrase, mais il était vrai que je n’avais presque rien mangé la veille au soir, mais pour cause je n’avais vraiment pas eu faim, mais ici ne pas mangé signifié qu’on allée pas encore totalement bien, ce qui voulais dire interdiction de sortir. Ce matin la, je finit donc toute mes tartines de pain qui était à un nombre de deux tartines et bue entièrement mon bol de café, si bien que à la fin j’avais l’impression que chaque mouvement allé me faire éclatée.
Je n’étais pas anorexique mais il était vrai que je négligé souvent le moment du repas, protestant avoir trop de chose à faire pour prendre le temps d’allé manger. Si bien que peu de temps avant mon malaise une collègue et amie, avait pris la petite habitude de venir me chercher et de m’emmené presque en me forçant, mangé tous les midi.
Ce n’était pas une grande perte pour mon travail, car bien évidemment je n’avais très souvent pas grand-chose à faire. Mais je préféré évité la compagnie des autres personnes, car chaque fois que je me retrouvée entourer j’avais toujours comme l’impression de suffoqué, d’être envahie, de ne pas être à ma place, alors je me contentais de ma seule compagnie jusqu’à ce que je devienne complètement folle et narcissique. Vous comprendrez que je fait de l’ironie la, rire de moi m’aide encore aujourd’hui à me sentir plus en phase je dirait avec notre monde, ça m’aide à ne pas totalement perdre pied une nouvelle fois.
Je ris de moi et de celle que j’étais avant pour pouvoir aujourd’hui avancé encore un peu. Mais ne parlons pas de ça maintenant gardon le meilleur pour la fin comme on dit.

A suivre de suite ...
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 14:38

Je repoussa la table à roulette pour pouvoir me levé de mon lit et me dégourdir un peu les jambes.
Je ne savais pas trop quoi faire, J’était réveillée et pour ne pas mentir, dans un hôpital on à vraiment pas quand chose à faire, et j’avais la tête tellement pleine de pensées qui parfois me submergée un peu trop, que j’avais donc besoin de m’occupé l’esprit.
Je me dirigea tout d’abord vers la salle de bain, pour me rafraichir un peu le visage.
Je rentra dans la pièce et fit glissé une de mes mains bandées sur l’interrupteur pour allumé la lumière. Et je me dirigea tout droit sur le lavabo, et je me regarda quelque minute dans le miroir, ma peau avait la couleur du lait, aussi blanche que la neige je dirait même presque diaphane et la fatigue n’avais rien arrangé à cette pâleur. Mes yeux apporté une touche de contraste à cette lividité, ils étaient d’un Bleu gris un peu foncé avec à certain moment quelque petite nuance de vert clair, quand j’était petite on me disait souvent que j’avais des yeux magnifique, et je doit bien avoué que en dehors de mes cheveux c’est l’une des parties de mon corps que j’aime le plus, mais en ce moment ils étaient entourés de grande cerne, qui ce trouvé être profonde et foncé. La fatigue ce lisait sans que l’on face aucun effort pour me forcer à avouer le fait que je sois fatigué, comme beaucoup de jeune femme dans mon cas on bénie le fond de teint. Je poussa un profond soupir et ouvrit le robinet d’eau froide, et en fit coulé un peu dans le creux de mes mains rejointe mouillant en même temps mes bandages, et je m’aspergea le visage. Le froid me réveilla un peu plus, j’avais comme l’impression qu’on me transpercé toute la figure avec de multiple petite aiguilles glacé. Je m’accrocha comme je put de chaque côté du lavabo avec mes mains bandées et trempées et je plongea mon regard dans le fin fond de mes yeux à travers le miroir, Je fronça quelque peu les sourcils, essayant vainement de retrouvé une personne, ou quelqu’un dans ce regard, de me retrouver moi en quelque sorte, de me reconnaitre. Mais je ne voyait rien, ou en tout cas je ne reconnaissait pas ce que je voyait, j’avais comme la désagréable impression de voir quelqu’un d’autre à travers ces yeux qui étaient pourtant les miens. Je pinça mes lèvres, ces lèvres qui elles aussi ont subie, et vue plus d’une horreur ce posé sur elles. Elles ce trouve être fine, mais tout de même bien remplis, à la fois délicate et ferme et d‘une couleur rosé, quand parfois je me laisse allé au plaisir de me maquiller, j‘aime poser délicatement une touche de gloss rien de bien vulgaire mais juste ce qu‘il faut pour venir approfondir cette vision de volume. Je posa un doigt à l’extrémité de ma lèvre inferieur et je le fit glissé doucement le long de ma lèvre, et je finit par laissé mon doigt suivre sa route et faire glissé ma main tout entière toujours bandé dans mes cheveux. Ils étaient d’un noir corbeau avec par endroit des reflets rouge auburn, rien de bien flagrant et ce qui primé le plus était avant tout le noir. Aucun effet terne n’était visible, ils étaient à la fois fluide et épais, une couleur sans fissure, ni même fade, au contraire c’était comme plongé dans un puits sans fond, on pouvait y passé une main sans qu’elle ne sois entravée par un quelconque nœud. Je n’oserai jamais dire que je suis d’une grande beauté, ou encore que je suis une jeune femme belle, en fait je dirait tous le contraire, étant plutôt du genre à me dénigrer plus que autre chose. J’avais une silhouette tout ce qu’il y à de plus normal, des cuisses qui s’avéré certes fine mais qui étaient pas non plus maigre, un ventre plat avec tout de même un petit bidon arrondie tout ce qu’il y a de plus mignon, des seins parfaitement rond, mais qui ce trouvé être ni trop gros, ni trop petit, en fait je dirait que pour d’autre yeux que les miens j’était parfaitement acceptable comme j’était voir même plus que acceptable. Mais ne me demandé pas pourquoi, je serai incapable de vous répondre, tous ce que je peut dire c’est que pour moi j’était une façade, quelqu’un qu’on ne voie pas, quelqu’un qui était invisible aux yeux de ce monde, quelqu’un qui n’avais pas de place, je me suis tellement convaincu moi-même de tous ça pendant des années qu’un beau jour on croie tout simplement que c’est la vérité. Pour moi je n’avais pas de place, je n’étais jamais asses bien, jamais asses jolie mais ce que je peut dire c’est que de moi-même c’était mes cheveux que j‘adoré le plus. Je ne saurais dire pourquoi, je savais juste que c’était ainsi. Je mis mes cheveux en arrière passant mes deux mains à l’intérieur de cette masse d’un noir de jet, massant doucement mon cuir chevelue, avant de faire courir mes doigts qui dépassés de mes bandages le long de ma nuque et de les laissé choir ici. Je poussa un petit soupir avant de renifler.
Malgré le fait que je savais que je n’avais pas à me détester je ne pouvait me résoudre à le faire. J’avais toujours cette colère enfouis au fond de moi, cette colère que je retourné contre moi, parce que je n’avais personne d’autre contre qui la retourné.
Cette haine et cette soif de vengeance qui plus les jours défilé plus elle augmenté. Chaque jour était un nouveau combat pour faire taire c’est sentiments, chaque jour était devenue une lutte permanente pour les refreinés jusqu’au jour ou misérablement tout éclate.
Je ne saurais dire combien de temps il m’avais resté avant que tout n’éclate pour moi. C’est comme si la, en cet instant j’était devant ce miroir en train de me regardé et de me posé des questions, celle qui n’on jamais quitté mon esprit, et que la minute suivante, je me retrouve en train d’éclaté. Dans ma tête je dirait que sa me fait l’effet d’un quart de seconde, alors que en fait ça à durée plus longtemps que ça.
Ces sentiments était tellement fort, sont tellement fort, qu’il est parfois impossible de les ralentir, ou de ralentir leur course, ça nous frappe quand on s’y attend le moins, au moment ou on est le plus vulnérable. Au moment ou on ce haie encore plus que avant. Au moment ou on souhaite qu’une seule et unique chose … En finir pour de bon.
J’ai souhaité plus d’une fois en finir avec moi-même, que enfin cette dernière seconde sois la bonne, celle ou j’en aurai terminé avec toute cette souffrance, et cette seconde la, ou je me retrouve seule dans cette salle de bain d’hôpital, les mains bandées à cause de trop de rage contenue, un tambourinement continue dans ma tête et une haine insensé contre moi, je souhaité en cet instant plus que tout que ce sois enfin la fin. J’en était au point que je ne me reconnaissait même plus dans une glace, au point ou mon reflet m’était inconnue, au point ou ce que je voyait dans mon propre regard m’était inconnue. Ou plutôt ce que je voyait dans ce regard était une trop grande connaissance du passé. Ce qu’il avait fait de moi. Je réprima un sanglot, un seul, avant de poussé un énorme soupir, et de m’aspergeait pour la seconde fois le visage d’eau froide. Probablement dans l’espoir que cela me remette un minimum les idées au clair. Puis je me redressa le bout des doigts nonchalamment posé sur le rebord du lavabo, et je jeta un dernier coup d’œil à ce reflet qui était le mien, avant de quitté cette salle de bain, et de quitté même cette chambre. Je n’avais pas de place ici. Ni nulle part ailleurs.

**************************

Voila la chapitre 4 est pas encore commencé mais ça ne va aps tardé !
Je tient quand même à précisé que dans les prochain chapitre il y aura des scènes choque, ça commence un peu mais ce n'est rien de choquant pour l'instant alors je préviens je sais à quel poins des scènes peuvent être désagréable à lire !
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 14:47

Merci Kelly!! Me réjouis de le lire! Smile
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 14:49

merci kelly! je vais me prendre du temps après pour le lire!
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 16:02

prenez tout votre temps les filles vous avez à pas à vous pressé!
Le chapitre 4 est même pas encore commencé alors vous avez le temps pour lire ce chapitre la :D !
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 16:19

mdr ça marche!

D'ailleurs va falloir que je relise le 2ème chapitre car j'ai un peu oublié... confus
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 16:49

je l'ai lu Smile et franchement Bravo Kelly tu es super talentueuse quand même!!
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Bélier
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 18:26

Ah oui! Van a raison ma Kelly! J'espère que tu continueras encore et encore! calin:
J'ai pas encore lu (honte à moi) mais j'aime mieux le savourer tranquillement que de le lire à la va-vite!
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Van
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Gémeaux
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 19:14

oui tu as raison mel, il faut le savourer Smile
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Bélier
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110Ven 10 Juil - 19:34

surtout quand c'est pour le plaisiir et non pas une lecture pour l'école!^^ Smile
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MessageSujet: Re: Le désespoir Infernal   Le désespoir Infernal - Page 2 Rev_0110

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