Alors voila c'est une petite fic sur un Manga "Naruto" ça concerne une relation amoureuse entre deux hommes, donc ceux à qui ce ne plait pas ne pas lire.
J'espère que cela vous plaira, pour ceux qui aurons le courage de lire
!!
**************************************************************Genre : Romance, général, et un peu d’humour (enfin je pense). C’est un UA
Paring : Sasu/Naru ou Naru/Sasu je ne pense pas qu’il y est un ordre précis enfin c’est à vous de voir.
Disclaimer : Ben non ils ne m’appartiennent pas, tous les droits reviennent à Mr Kishimoto.
Note : L’idée m’est venue comme ça et il fallait que je l’écrive. C’est vraiment sans prétention, surtout que ce n’est que la seconde fiction que j’écris sur Naruto, et ce toujours dans un Univers alternatif. Et j’espère que ça vous plaira. Le premier paragraphe est un POV Normal et le reste et un gros POV de Sasuke mais c’est indiqué. Je me suis un peu essayer à l’humour… Enfin moi je dirais plutôt que c’est plus de l’ironie… En même temps j’ai du mal à faire dans l’humour. Je pense… Non je suis sur que c’est pas du tout fiable au personnage (je m’en excuse) C’est donc un complet OOC et j’en assume la responsabilité!
Ensuite, c’est la première fois que j’écris sur deux hommes, dont dans l’intimité, alors pas de Lemon juste un petit Lime pour l’instant, c’est tout de même asses explicite donc les homophobes ne sont pas acceptés.
Bonne lecture.
Petite séance chez un psy de groupe ? POV Normal
Qu’est ce que je faisais la ?
C’était la première et la seule question qui venait à l’esprit de Sieur Uchiwa Sasuke à l’instant. C’était un jeune homme de 20ans, grand et mince malgré les muscle puissant qui saille sous son fin pull beige à col roulé, il devait faire le mètre 80, Brun avec quelque reflet bleu, une peau pale certes mais qui ne donner pas un air maladif au jeune homme, des yeux magnifique d’un noir profond qu’ont avait l’impression qu’ils étaient deux puis sans fond. Ont ne pouvait pas le nier Sasuke Uchiwa était à tomber et les habits qu’il portait ne faisait que favoriser ces nombreux atouts, son jean noir légèrement serrer mettait certaine formes bien placé en valeur et son fin pull beige à col roulé cassé cette air froid et mettait son torse en avant, laissant deviner des muscles fin mais puissants, des abdos à faire fondre et un torse des plus puissant. Beaucoup ce serraient damner rien que pour pouvoir passé une nuit avec ce beau ténébreux qu’ils soient hommes ou femmes, beaucoup serraient prêts à tout pour pouvoir rien qu’une fois s’appuyait sur ce torse musclé. Mais le jeune homme ne montré aucun signe d’intérêt pour une quelconque jeune femme ou un quelconque homme. Les avances qu’ont lui faisait, il les ignorés avec un tact des plus débordant –Bien sur voyait de l’ironie dans cette phrase- mais après tout il avait déjà quelqu’un dans sa vie, quelqu’un qu’il aimé plus que tout. Bien sur il ne l’aurait avoué devant personne ça mettrait sa fierté de mâle froid et arrogant à l’épreuve, mais oui il avait bien une personne dans sa vie qu’il aimé plus que tout. Au point d’être ici, assis dans cette salle sur cette chaise en bois des plus inconfortable depuis presque une heure et demi maintenant à écouté un vieux sénile déblatéré diverse chose toutes les unes plus que les autres aussi stupide. Oui vraiment que faisait t’il la ? La question ne ce posait même pas, mais pour lui si.
POV Sasuke
Je poussa un soupir à fendre l’âme faisant comprendre au vieux sénile ainsi qu’à mon entourage que je commençais sérieusement à en avoir marre. D’ailleurs je commençais même à avoir des crampes aux jambes à forces de resté assis sans bouger et aux joues à force de devoir exprimait un sourire débile en permanence. Tous ça parce que le sourire c’est le début de la sociabilité. Oui parce que je vous ai pas dit, mais je me retrouve enfermer dans une salle ou ce déroule une séance de sociabilité de comportement avec autrui et d’analyse de comportement de sois même en la compagnie d’un psy pour apparemment amélioré mes tendance possessive. Sur ce point ils auraient pu éviter de nous mettre un vieux sénile aux cheveux blanc et qui sais peut être gâteux par-dessus le marcher. Enfin bref moi je ne voyait pas ce que sourire en permanence pouvait bien donner au gens l’impression d’être sociable. Après tout beaucoup lance des sourires à tour de bras et par derrière ne sont que de grand hypocrite, au moins lui il pouvait ce vanté de n’avoir jamais paru hypocrite ou faux jetons. Je poussa un soupir imperceptible et décida de me levait pour aller me servir un verre de jus de fruit qui était mis à la disposition.
Non mais c’est vrai qu’est ce que je fais ici ? Pour la deuxième fois il pensa encore à ce qu’il pouvait bien faire la.
Mais oui c’est encore une lubie de mon crétin de petit copain ! Enfin crétin, il l’aime tout de même énormément au point d’avoir accepté de venir à cette séance, et d’y resté en plus de ça. En même temps il est vrai que c’est temps ci nous, nous disputions régulièrement. La plupart du temps pour des broutilles, mais j’avoue que en partit c’est un peu à cause de moi… Enfin pas tout à fait non plus, il à aussi sa part de responsabilité. Enfin, nos disputes commence toujours de la même manière, je fais une crise –Oui enfin si on peut dire sa- Je ne suis pas de mauvaise foi ne croyais pas ça. Bref passons. Donc on sort tous les deux en amoureux ou avec nos amis et je ne peux m’empêcher de surveiller la moindre personne qui l’approche, ont pourrais dire que je suis possessif mais pas tant que ça, je suis juste un peu jaloux. Je l’aime et je prends soin de ce qui m’appartient. C’est comme ça que un soir ou nous étions sortit dîner en amoureux un grand gaillard un peu trop entrepreneur avait eu la bonne idée de draguer mon beau blond. J’aurai peut être put passer outre si cet abruti n’avait pas osé mettre une de ces grandes mains toute sale sur le joli fessier de mon homme, et lui dire d’une voix ivre que si il le payer mon beau blond accepterai t’il une bonne partie de jambe en l’air avec lui. Pourtant j’ai fait un effort au début je me suis maitrisé, entrainant mon blond pour poursuivre notre chemin, mais c’est pas ma faute si cet abruti et revenu à la charge et à voulut voler un baisé à mon homme. La j’ai vue rouge, et puis quoi encore j’allais le laisser faire ? J’ai pas pu m’en empêchait je lui ai mis deux ou trois crochets du droit avant d’être arrêter par Naruto –Car c’est bien lui- et quelque hommes qui trainer dans le bar. En rentrant j’ai eu droit à une scène mémorable et au confort douillet du canapé. J’avoue ne pas avoir compris, après tout, je l’avait quand même sauvé de cet être répugnant.
Le lendemain on à discuter. D’après lui je manqué de tact et de sociabilité et j’était beaucoup trop possessif. Bien sur il m’était reconnaissant pour la veille, lui non plus n’avait pas apprécié les avances de ce vieux bougre. Ce qui c’était passé la veille était juste comme on dit la cerise sur le gâteau. Donc d’après lui j’aurais besoin de cours de sociabilité de tact mais aussi et surtout d’une petite séance avec un psy, d’où ma présence ici aujourd’hui. Il pense qu’une petite discutions pour mettre les choses au clair serai la bienvenue. Comprendre pourquoi je suis aussi possessif-La question ne ce pose pourtant pas- Mais apparemment pour lui si la question ce pose. Pas qu’il n’apprécie pas que je prenne autant soins de lui et de ce qui l’entoure, mais d’après lui par moment c’était plus de la surveillance et de l’étouffement. En gros il en pouvait plus de devoir surveiller chaque personne qu’il approché ayant trop peur que je pense qu’il me trompe et que je réagisse mal. Comme si j’allais mal réagir des qu’un homme ou une femme s’approchait de trop prêt –Bon peut être qu’il à raison… Enfin juste un peu- Tout ça parce que je m’en prends à tout ceux qui ose le regarder d’un peu trop prés. Bien sur que je m’en prends à ceux qui ose le regarder de trop près, Il est canon, sexy, gentil, adorable et il à un cœur en or, il donnerait le bon dieu sans confession à n’importe qui, il faut bien que je surveille c’est arrière. Bon j’avoue être peut être un peu possessif… Mais de la à devoir supporté un vieux sénile et un groupe de mec en mal d’amour pour apprendre à me maitrisé, quand même pas. Bon d’accord peut être que j’en ai besoin, mais ont pourrais faire ça autrement. Juste tous les deux ! Bien sur je lui ai dit, mais d’après lui ça ne fonctionnerai pas, tout ça parce que avec lui je suis l’être le plus adorable. Alors encore une fois d’après lui, me confronter aux autres m’instruirais plus et discuter de ce problème de possessivité avec un psy m’aiderai plus que d’en discuter avec lui.
Tu parle ! Jusqu’ici je ne me suis pas instruit je me suis ennuyait ferme. Quand je pense que je pourrais être avec lui à l’heure qu’il est. En train de prendre du temps tous les deux. En plus lui et quelqu’un de nos amis avaient prévus d’aller à la patinoire. Misère… ça aurai été beaucoup plus marrant que d’être cloitré ici. Rien que de pensé à mon beau blond patinant avec grâce, glissant sur la glace, le nez rougis par le froid, son bonnet sur la tête, cet air d’enfant joyeux, sa me donne des envies de le prendre dans mes bras et de l’embrassé fougueusement.
Je me suis rassis sur ma chaise, écoutant le vieux sénile d’une oreille distraite, trop occupé à imaginé mon beau blond sous toute les coutures. Mais je me stoppa bien vite, quand j’en arriva à l’image de Naruto dans une chambre illuminé par quelque bougie, allonger dans un grand lit à baldaquin sur des draps de satin rouge, tout alanguis, son corps à ma merci me donnant le message que je peux faire ce que je veux de lui, portant pour seul vêtement un boxer noir. C’est dans un raclement de gorge que je revient douloureusement à la réalité et croise les jambes pour caché une érection naissante et gênante. Le vieux sénile qui m’avait oublié jusque la, ce tourna vers moi et me regarda dans les yeux avant de s’adressé à moi. « Oh non me dite pas que je vais devoir m’exprimait à mon tour ! » Il est vrai que je me voyait pas dire devant tous le monde que j’étais la parce que mon copain pense qu’une séance avec un psy m’aiderai à comprendre pour quelle raison je suis aussi possessif et qu’un peu de sociabilité m’aiderai à mieux m’entendre avec les gens ou du moins m’aiderai à arrêter de voir du mal dans toutes les personnes qui s’approcheraient de lui. Mais je ne pouvais pas lui dire que je me retrouve ici après avoir mis une rouste à un abruti qui à essayait de dragué mon homme. Je les imaginés déjà tous rire anguille sous roche, ce foutant tous ouvertement de ma gueule tout ça parce que moi Uchiwa Sasuke le fils cadet du plus richissimes patron d’entreprise de la ville était à une séance de groupe avec un psy parce qu’il s’avère être des plus possessif envers son petit copain. Pas que les racontars me fasse peur, j’en avait rien à faire depuis bien longtemps, en fait je me fichait de ce que les autres pouvaient dire depuis le jour ou « Je précise nous étions encore au lycée » du haut d’une échelle, Naruto étant en bas, après une énième dispute qui avait éclaté entre nous parce qu’on était trop stupide pour s’avouer mutuellement qu’on s’aimer, je lui est hurlé que je l’aimer. Ce jour la j’ai cru mourir étouffait sous la honte, les autres autour de nous s’était brutalement arrêter et je les revois encore tous me regarder avec un air halluciné, surtout quelques filles qui avait l’espoir que je l’ai invite au bal de fin d’année. Mais toute mon angoisse c’est évaporé quand j’ai vu Naruto monté à son tour à l’échelle ce mettant à mon niveau et me demander de répéter, ce que j’ai fait.
Je crois que je me rappellerais de ce moment toute ma vie. Après le moment où j’ai cru mourir de honte, c’est tout de même le plus beau jour de toute ma vie. Moi qui avait peur d’un quelconque rejet au contraire ce dernier à juste sourit, ma regarder dans les yeux et à dit un « Et bien enfin » avant de plonger sur mes lèvres et de m’embrassé comme je l’avais déjà plusieurs fois imaginé, sous les yeux ahuris de certains élèves et ceux rieurs de notre groupe d’amis qui attendais ça depuis longtemps. Alors je me dit que pour lui je peux peut être faire un petit effort, pour lui et pour nous parce que je tient tout de même à notre couple. En même temps c’est un peu pour ça que je me retrouve ici maintenant. Je ruminais encore mes pensées quand le vieux sénile prit la parole. Je m’y attendais, j’allais devoir y passé moi aussi. Moi qui avait espéré depuis le début de cette maudite séance de passé entre les mailles du filet, je me retrouvé coincé.
- Bon alors Mr Uchiwa… Je suis très étonné de vous vois ici !
Et moi donc… Je ne suis pas seulement étonné, je me maudis d’avoir accepté, quand je pense que c’était pour lui faire plaisir plus qu’autre chose. Même si je tiens à notre couple y à d’autre moyen… Et vas y que sa ça sourit, j’en vois certain mettre une main devant leur bouche voulant surement étouffait un rire qu’ils n’ont pas pu retenir. Le vieux sénile lui ce retient, pourtant je le voie bien il à envie de sourire lui aussi, peut être même de pouffais. Je ne répond pas et me contente de le regarder dans les yeux, attendant la suite, car suite il allait y avoir j’en était sure.
- Que nous vaut le plaisir de votre présence ?
Et voila… Je devait m’y attendre ! Je le vois, sa les intéresse tous. Je pensait pas être un centre d’intérêt aussi développé. Et je ne vois pas non plus en quoi ça le regarde à ce vieux débris, ce que j’exprime d’ailleurs haut et fort, sur un ton des plus froids.
- Je vois pas ce que ça peut vous faire.
Au moins j’annonce haut et clair mon aversion à être ici avec eux, et que je n’ai aucune envie de m’étendre sur ma vie en la présence de personne que je ne connaissait pas ou peu pour certaine. Mais si seulement ça avait pu l’arrêter il aurait plus des grenouilles, je le vis bien il me tenait et était pas prêt de me lâché. C’était du harcèlement. Bon ok peut être pas … Je suis pas parano non plus. Quoique des fois je soupçonne Gaara de vouloir ce rapprochait un peu trop près de mon blond, enfin passons, je suis avant tout la pour amélioré mes tendances possessive, si je commence comme ça je ne vais pas avancer. Je vois le vieux plonger dans d’intenses réflexions, le dos appuyai contre le dossier de son siège, les jambes croisées, les coudes appuyais sur les accoudoirs et les deux mains jointe sous son menton. Il resta quelque seconde comme ça avant de me regarder de nouveau, surement qu’il en était venu à la constatation que Naruto avait énoncé et qu’il avait raison… J’avais vraiment besoin d’une séance avec un psy
- Mr Uchiwa nous sommes tous ici pour apprendre à mieux cohabité avec les autres dans la vie de tous les jours. Et amélioré certaine de nos tendances.
- L’important c’est que j’arrive à cohabité avec mon petit copain pas avec des gens que je ne connais pas. Et pour ce qui est des tendances j’aurai préféré faire ça autrement.
Je le vis rabaisser ces mains sur ces genoux, fermé les yeux en soupirant avant de les rouvrir et de me regarder.
- Bon, je pense qu’on va avoir beaucoup de travail.
Et il me dit ça comme si il pensait que j’allait l’écouté encore longtemps.
- Pourquoi être venus ici, si vous n’aviez pas envie de faire des efforts Mr Uchiwa ?
- C’est pas moi qui ai voulue venir, j’ai été fortement conseillé. Et puis qui à dit que je ne voulais pas faire des efforts.
- Donc vous voulez faire des efforts, c’est bien, vous aviez envie de venir et apprendre à mieux vous comportez avec les autres et …
- Pas du tout !
Je le laisse pas finir sa phrase, ben quoi ? Autant être franc, j’allais pas lui faire un grand sourire hypocrite et lui dire « Oh oui bien sur, je souhaite faire de grand sourire à tour de bras à tous le monde, tendre la main au étranger et laisser un autre mec ce tapé mon copain ! » franchement ça serai dire un mensonge qui est plus gros que moi.
- Alors pourquoi être ici ?
- C’était…
En toute conscience je pouvais pas dire ça. Pourtant c’est la vérité j’était la uniquement pour faire plaisir à Naruto, lui montré que je peux faire des efforts, que je veux améliorer mon comportement pour notre couple mais le dire c’était une autre histoire.
- Tu es la à cause de Naruto !
C’était pas une question je le compris aussitôt, et la voix qui s’était élevé me disait vaguement quelque chose, c’est quand je releva les yeux vers l’homme qui c’était exprimait que je me rappelait qui il était. C’était un jeune homme de mon âge, de taille moyenne, mince, ont pourraient presque croire à une carrure frêle mais je savais que sous cet aspect pour m’être quelque fois battu avec cet andouille qu’il y avait de puissant muscle la dessous, la peau encore plus pâle que la mienne je dirais même presque grisâtre ce qui lui donne un air malade, des cheveux d’un noir d’encre et de fin yeux noir. Et je pouvais dire que c’était pas la plus grande des joies de revoir cet incapable. Pour lui cette séance de groupe était la bienvenue. Au moins je pouvais me réjouir de savoir qu’il y à pire que moi.
- Tien Sai ! Je me disait bien que je t’avais déjà vu quelque part.
Mon ton était tout ce qu’il y avait de plus sarcastique, en même temps je vais pas lui faire des courbettes non plus, le jour ou j’ai déclaré ma flamme à Naruto, la dispute avait éclaté à cause de lui. Lui aussi avait flashé sur mon beau blond et je les ai surpris tous les deux, enfin j’ai surpris Sai prendre possession des lèvres de Naruto, lèvres qui aurai du m’appartenir et ne jamais touché celle d’un autre, lui ne bouger pas, du moins il ne bougea pas jusqu’à ce qu’il me voie dans l’encadrement de la porte. Je pense que c’est ce qui ma poussé à lui dire que je l’aimé. Je me suis précipité dans le grand hall du lycée rouge de colère, jetant mon sac dans un coin et montant à l’échelle pour aider Shikamaru « qui avait l’air surpris de mon état de rage tous comme les autres de la bande qui m’avait vu rentré dans le hall en furie.» Il n’a rien dit et je l’aida à accroché la banderole pour une fête organiser. Naruto m’avait suivit et c’est à ce moment la que tout changea entre nous.
Je vis Sai esquissai un de ces sourires faux qui m’exaspéré. Ce jour la, il à du espérer qu’entre Naruto et moi ce lien unique qu’il y avait entre nous ce brise, et qu’il récupère Naruto. Manque de chance mon blond ne ressentais rien pour lui. Et le reste de l’année c’était dérouler sous les différentes insultes que Sai et moi nous, nous lancions lui par jalousie et moi par pur provocation et sous les quelques bagarres que nos amis n’arrivais pas à calmé. Bon j’avoue que le fait que Naruto le garde comme ami et que de temps en temps ils passaient du temps tous les deux me mettait les boulles. Je ne l’avouerai pas mais il arrivait que Naruto essuies parfois quelque crise excessive de jalousie quand nous, nous retrouvions seul.
- Et moi je ne m’attendais pas à trouvé sieur puant ici.
- Oui en même temps ce cours est enfaite plutôt excellant pour toi triple crétin !
- Comparé à toi je suis très sociable moi et pas spécialement possessif !
- Tu parle ! Sans tes bouquins tu arriverais à rien ! Et puis tu ne risque pas d’être possessif tu ne sais même pas ce que veux dire le mot sentiment.
- Oui mais j’ai pas eu besoin d’un bouquin ni d’instruction pour embrassé Naruto !
Alors la il me chercher. Je le savais je voyais son air moqueur et son sourire en coin qui voulais dire « Et bien qu’est ce que tu attend ? Vas-y cogne moi. » Mais il ne m’aurait pas, j’avais promis à Naruto de faire quelque efforts, je pouvait décemment pas cogner sur Sai après ça. Si ?
- Peut être mais c’est pas toi qui la !
- Et bien … Tu le prend pour un objet… En même temps venant de toi on peut pas s’attendre à autre chose.
Ça voulait dire quoi ça. Pour qui il ce prend le débile. Je vais pas me laisser faire. J’ai jamais pris Naruto pour un objet, peut être oui que je suis un peu trop possessif mais je le prend pas pour ma chose. J’allais répliquer quand le vieux m’interrompu, je lui lança un regard noir.
- Allons, allons, du calme.
Il était maintenant debout au milieu du cercle, les mains jointe devant lui au niveau de son ventre. Il regarda à intervalle Sai et moi.
- Vous, vous connaissez tous les deux ?
- Oui, vaguement !
-Hn !
On en dit pas plus et détourna tous deux le regard. Le vieux ce posta derrière son siège et posa ces deux mains sur le dossier et s’y appuis.
- Vous, vous disputez tous les deux pour une même personne à ce que j’ai pu comprendre. Une vieille rivalité ?
Il était hors de question que je prenne la parole, de toute façon j’en voyait pas l’utilité. Et puis c’était du passé, Naruto était avec moi, il à toujours était avec moi. Sai n’était plus rien. Mais je ne m’attendais pas à ce que Sai, lui ce prête au jeu, et qu’il réponde.
- On peut dire ça comme ça.
- Expliqué moi ! Je suis la pour vous écoutez.
Je poussa un pouffement remplis de sarcasme sous les yeux réprobateur du vieux et ceux inexpressifs de Sai –Il avait pas changé celui la-.
- Ont été au lycée ensemble. J’était nouveau et Naruto un garçon qui été dans la même classe que moi à était le premier à venir vers moi. Avant lui j’éviter tout contact avec les autres, mais lui il ma donner envie de plus…
- Tellement de plus … Que trois mois après tu t’est cru tout permis ! Fis-je sarcastique.
- Je comprenais pas ces sentiments qui m’habité à chaque fois que j’était en sa compagnie – Continua t’il en m’ignorant complètement- et puis un jour, on était tous les deux on discuté et sur un coup de tête je l’ai embrassé.
Je vis le vieux sénile hochet la tête et se tourner vers moi.
- Et vous les avez surpris !
Je ne dit rien mais acquiesça d’un signe de tête en poussant un mince soupir, ce souvenir me rendait toujours fou de rage.
- Etiez-vous déjà ensemble tous les deux quand vous avez surpris Sai en train d’embrasser Naruto ?
Je releva la tête vers le vieux un peu surpris de sa question. Qu’est ce ça pouvait bien lui faire … Et puis en quoi parler de ça rentré en ligne de compte pour amélioré ma sociabilité ou ma possessivité.
- S’il vous plait Sasuke répondait ça ne peut que vous être bénéfique.
J’inspira un grand coup avant de pousser un soupir. Si tu le dit vieux débris. De toute façon je voyais pas ce que je pouvais faire d’autre, j’étais coincé ici jusqu’à 18H30 et il était à peine 15H. Alors à passé encore trois heures ici autant que je voie pas l’heure passé. J’essaya de prendre un ton des plus aimables pour répondre ce qui échoua un peu.
- Non ! On était pas encore ensemble !
Le vieux sénile hochât de nouveau la tête avant de reprendre.
-Quand vous les avez vu comme ça tous les deux… Cela vous à t’il énormément blessé ? Je veux dire… Blessé au point de sentir comme une déchirure en vous ?
-… Hn !
- Pouvez vous me dire ce qui c’est passé par la suite ?
- Je suis partit, il ma suivit, on c’est disputé … Et avant qu’il parte je lui ai dit que je l’aimé.
- Et depuis ce jour… Vous êtes ensemble.
Je ne me donna pas la peine de répondre, acquiesçant juste d’un signe de tête.
- Je ne vois pas en quoi cela à avoir avec mon asociabilité ou ma possessivité !
- Je pense que ça joue un rôle mineur ! Vous êtes connue pour votre froideur et votre arrogance après tous nous vous connaissons malheureusement tous ici, étant un des fils d’un des plus grands patrons de la ville. Mais je pense que depuis ce moment ou vous avez surpris Sai embrassé l’homme que vous aimiez et malgré le fait que vous soyez avec Naruto à présent et depuis ce fameux jour, vous avez peur de le perdre à tous moment. Peur que cet amour ne soit qu’à sens unique. Vous lui faite confiance sans pour autant lui faire entièrement confiance parce que ce jour la, même si vous étiez pas encore ensemble, vous l’aimiez déjà profondément et vous avez pris ce geste comme une trahison de sa part. Depuis vous, vous dîtes «Qu’est ce qui l’empêche de recommencer » moi je vais vous dire ce qui l’empêche de recommencer. C’est le fait qu’il vous aime. Vous ne faite pas la part des choses, vous ne séparez pas le moment ou vous étiez encore que de simple ami à celui ou vous êtes devenu un couple. Si vous êtes aussi possessif c’est que vous avez pas totalement confiance, vous avez peur qu’il trouve quelqu’un et vous quitte…
Si je n’avais pas le flegme Uchiwa, j’oserai dire que j’aurai les yeux exorbitaient et la bouche grande ouverte étant complètement halluciné, mais j’ai une fierté et malgré le fait que j'étais profondément choqué on ne vit sur mon visage que des lèvres pincé et un regard étrécis par la colère. J’allais l’interrompre, lui dire que ce qu’il raconté était du grand n’importe quoi. J’aimais Naruto, je l’aimé comme j’ai jamais aimé quelqu’un, je lui faisait entièrement confiance. C’est pas en lui que j’ai pas confiance, mais plutôt en les autres, après tout on ne sais jamais à quoi s’attendre d’une personne étrangère.
Mais je n’eu pas le temps de dire quoique ce sois que le vieux reprenez déjà son discourt.
- Oui je sais, vous allez me dire que vous l’aimez énormément … Ce qui est vrai j’en suis persuadé… Et que vous lui faite pleinement confiance mais…
- J’ai confiance en Naruto ! Je sais que jamais il me trahira.
- Alors pourquoi agir comme ça ?
- C’est en les autres que j’ai pas confiance… Naruto est quelqu’un d’adorable, il à un cœur en or, et j’ai juste peur que tout le monde ce serve de lui. Peut être que j’ai peur qu’il me quitte un jour, ou qu’il trouve quelqu’un de plus intéressant que moi … Mais je lui fait confiance… Enfin je crois.
Et bizarrement mettre des mots sur ce que je pensée m’aida à me dire quelque chose, quelque chose dont j’était au courant mais dont je pris pleinement conscience à ce moment la. Je l’aimé. C’était un fait. C’était quelque chose d’ancré au fond de moi, ça me coller à la peau ou plutôt je l’avait lui dans la peau. Il était ma bouffé d’air frai, mon rayon de soleil le matin, il est comme une drogue, il est la seule personne dont je ne peux pas me passer, même si je le voulais je serrai incapable de vivre sans lui… Mais est ce que pour lui c’était la même chose ? Ont était ensemble depuis nos 17ans, on en à presque 21 à présent, 4ans qu’on forme un couple et ont prévois bientôt de vivre ensemble, quittant la maison de mes parents. Mais pas une seule fois on à exprimait notre amour du moins pas comme on le devrait. Bien sur des petits dîners en tête à tête ont en fait, ont c’est déjà dit qu’on s’aimer mais jamais comme deux amants prêt à franchir le cap de la simple amourette et vivre quelque chose de nouveau. Pas comme deux adultes prêt à passé le cap, à vivre ensemble construire quelque chose à deux, crée notre petit nid douillet rien qu’à nous. Et je pris conscience d’une chose, si j’avais peur c’est parce qu’ont était resté à l’amour d’adolescent qu’ont ces vouer il y a 4ans de ça. Celui qui est tout beau, mais qui ne promet rien. On peut s’aimer, se le dire mais 6mois après tout oublié et passé à autre chose. Bien sur pour moi il en est pas question, j’aime Naruto depuis le jour ou j’ai découvert ma sexualité. J’ai pas mis longtemps à me chercher, j’avoue que au début j’était un peu effrayer par ces sentiments, ces sensations qu’il éveiller en moi des qu’il était à mes côtés, mais j’ai accepté très vite. Pour moi c’était une évidence il était l’homme de ma vie et il y en aurai jamais d’autre. Depuis le jour ou j’ai vue Sai poser ces lèvres sur celle de Naruto j’ai toujours eu cette angoisse de me dire et si il me quitté pour aller retrouver cette abruti ou qu’il décide du jour au lendemain de passé à autre chose et qu’il me quitte pour un crétin quelconque qui serai pour lui plus intéressant que moi, après tous moi je suis sur de vouloir passé ma vie avec lui… Mais est ce que lui aussi l’ai ? Du coup j’avoue l’avoir un peu étouffais surveillant tout et tous le monde pour lui éviter de s’attacher à quelqu’un et qu’il me quitte. Je me rappel encore une dispute qu’on à eu un soir-Je crois que ça à était une de nos plus grosse dispute et surtout celle qui ma fait le plus peur- A l’époque et avant aujourd’hui je me disais que j’avais une bonne raison d’avoir réagis comme je l’avais fait. Mais maintenant je me rend compte que j’ai été stupide ce jour la, blessant plus Naruto qu’autre chose. Mais je m’étais vraiment fait un sang d’encre. Pour la petite histoire,
*– Naruto avait été consigné une semaine, avec retour obligatoire à l’orphelinat. Je me rappel qu’au début il n’a pas voulut m’expliquer pourquoi, du coup j’ai commencé à me faire des idées, mais finalement j’ai passé outre me disant qu’il finirait par m’expliquer. Mais quand je n’eu aucune nouvelle de lui pendant les deux semaines suivante j’ai cru devenir dingue. Mais le vendredi soir de la deuxième semaine il à débarqué chez moi, toquant faiblement à ma porte, je lui ai ouvert étant prêt à lui dire ces 4vérités en face quand je l’ai vu un sac à bout de bras remplis de vêtements, l’arcade sourcilière gauche éclaté ainsi que sa lèvre inférieur. Je me rappel son mince sourire qui à fait saigné sa blessure à la lèvre et son petit haussement d’épaule, il savait que je ne pouvais rien lui refusait et je l’ai laissé passer, en même temps j’étais plus inquiet de savoir d’où provenez ces blessures qu’autre chose. J’ai cru que ma mère allait faire une syncope quand elle à vue les blessures de son petit Naru adoré, s’empressant de l’ai lui désinfecté. Puis par la suite une fois tous les deux je lui ai demandé des explications sur le fait que j’avais pas eu de nouvelle depuis deux semaines que ce sois téléphonique ou visuelle mais il à rien voulue me dire, alors j’ai péter un câble. Deux semaines sans nouvelle je me posais vraiment des questions. Alors j’ai haussé le ton, lui demandant ce qu’il avait fait, si il voyait quelqu’un d’autre, si il jouet juste avec moi, m’ayant pris en pitié le jour ou je lui avais dit que je l’aimé et qu’il avait décidé de sortir avec moi juste pour me faire plaisir mais que en fait il ce tapé quelqu’un d’autre dans mon dos, si il trouvait ça drôle. Sur le coup il n’à rien dit, mais il lui fallut 5minutes de récupérations avant d’exploser à son tour me hurlant dessus comme il ne l’avait jamais fait. Me sortant que de toute façon avec moi c’était toujours la même chose, qu’il ne me donné pas de nouvelle c’était que automatiquement il me trompé avec un autre. Que j’étais égoïste et ne pouvait pas comprendre qu’à ce moment il avait besoin de réconfort et non qu’on lui rabâche les oreilles avec des idioties.-*
Je ne l’avais jamais vu dans une telle colère et j’avoue que cette dispute ma fait très peur car il est repartit aussitôt laissant pour seul passage sa veste avec laquelle j’ai dormit cette nuit la me maudissant. Il est revenu le lendemain, je crois que mon cœur n’avais jamais battu aussi vite qu’à ce moment la. Je me rappel, j’étais dans la cuisine devant un café noir –Il fallait bien ça pour supporter la nuit blanche que j’avais passé- Je l’ai regardé venir jusqu’à la table et s’assoir en face de moi. J’ai eu la plus grande trouille de ma vie –Celle qui me disait ça y est c’est finis, la belle aventure s’arrête la, il va te dire que nous deux c’était bien mais que c’était finit- Mais mon cœur à raté un battement quand au lieu des paroles que je m’étais imaginé il à attrapé mes mains qui étaient autour de la tasse que je tenais, ma regardé dans les yeux avant de baisser la tête et fixais la table. Et il à commencé à m’expliquer que si il avait été consigné à l’orphelinat c’est parce qu’il c’était enfuis en apprenant qu’une famille avait décidé de l’adopter. Ce qui aurai été génial si cela n’avait pas été à l’autre bout du pays dans une famille qui n’accepterais pas ces cours dans son école et accepterais pas non plus qu’il vienne me voir et passer du temps dans ma famille. Puis il m’expliqua que si il ne m’avait pas donné de nouvelle c’est parce que le directeur qui à l’époque n’était pas encore Iruka-Sensei, avait accepté de faire un essai et l’avait envoyé dans cette famille, qui désirait un homme de plus dans la famille juste pour l’exploiter. On lui avait pris son téléphone et il était obligé de travailler d’arrache pied pour pouvoir manger ou dormir dans son lit. Il me raconta aussi que la veille au soir quand il était arrivait devant chez moi il venait de s’enfuir après qu’un des fils de la famille l’avais insulté de sale pédé parce qu’il sortait avec un homme et qu’ils s’étaient tous deux violement battu d’où les blessures. J’avoue être resté sur le cul comme on dit et j’avoue aussi m’être sentit vraiment stupide d’avoir réagit comme je l’avais fait, même si je pensais avoir une bonne raison.
J’ai cru qu’il me trompé, alors qu’il vivait l’enfer. Peut être que le vieux sénile avait raison dans un sens. Je lui faisais confiance sans totalement lui faire confiance. Jamais je lui est dit que j’était prêt à faire ma vie avec lui, même si j’était sur que c’était ce que je voulais, jamais je lui est dit qu’il était le seul à me faire tourner la tête comme ça… Certes lui non plus mais je savais à présent qu’il était prêt lui aussi mais avec mon comportement il à peut être peur que ça ruine tous. Il était peut être temps qu’on passe ce nouveau cap. J’étais vraiment prêt je le savais au plus profond de moi.
La séance continua tranquillement, chacun parlant de ces divers problèmes, ont ne revint plus sur mon problème et Sai m’ignora complètement, je pense que ce vieux débris savais que j’avais compris ce que j’avais à faire. J’ai faillit mourir de rire quand le mec à ma droite expliqua tous penaud qu’il était la parce que il avait des problèmes de sexe… Pas que monsieur avait du mal à avoir une érection, non c’était tout le contraire, Monsieur était un accroc au sexe et sa femme ne le supportait plus. Pas qu’elle n’aimé pas son mari au contraire, le problème c’est qu’elle ne pouvait plus assumer, son mari ne lui laissant aucun repos. J’ai déployais tous les efforts du monde pour ne pas exploser de rire, c’était franchement pas correct. C’est donc un commun accord avec ma conscience que je décida de me lever et d’aller me servir un nouveau jus de fruit. Bizarrement 18H30 sonna plus rapidement que je m’y attendais et ces soulager que j’enfilais mon long manteau noir attraper mes clés de voiture et quitté cette salle. Et je devrais pas être obligé de préciser que j’espérer ne plus jamais remettre les pieds dans un truc de ce genre. Les introspections ce n’était vraiment pas pour moi. Même si dans un sens cela ma aider à comprendre quelque chose d’important, je ne souhaitais pas remettre ça de si tôt, j’avais une migraine des plus désagréable à force de pensée à tout ça.
Je suis monté dans ma voiture, j’ai démarré et c’est sans un regard derrière moi que je suis partit retrouver mon homme qui devait m’attendre à la maison. Il était orphelin je ne devrais pas être obligé de le préciser, mais je le fais quand même et le week end il le passe chez moi dans ma famille, n’étant pas dans la même école le moindre petit moment qu’on peut avoir ont en profite. Il arrive donc très souvent qu’il passe plus d’un week end, n’ayant pas les moyens de ce payer l’internat il rentre à l’orphelinat mais mes parents, mon frère et moi ne supportons pas de le voir quitté la maison pour rentré dans un lieu aussi lugubre que son orphelinat surtout depuis l’épisode ou on à tous faillit le perdre, et puis la bas il n’a aucun amis, Gaara ayant était adopté depuis longtemps, Naruto était donc tous seul maintenant, alors il passe le plus clair de son temps chez moi, de toute façon il est majeur donc plus obliger de rentré à l’orphelinat pour ne pas perdre sa place. Heureusement que Iruka-Senseï est quelqu’un de gentil et qu’il ferme les yeux à l’époque. Naruto étant son chouchou, il est que plus heureux de savoir son petit protéger dans une famille qui l’aime et que lui-même est heureux.
Je tourna à un angle de rue, continua un peu ma route avant de tourné et de rentré dans l’allée d’un grand manoir. J’était enfin rentré à la maison. Le scooter de Naruto était garé correctement à sa place, la voiture de ma mère était la également ainsi que celle de mon frère. « Quand c’est qu’il va ce trouver un appart lui d’ailleurs ? » Pas que mon frère me déranger mais je me poser tout de même la question, ayant 25ans, une copine et un boulot je m’attendais à ce qu’il quitte le domaine familial pour s’installer, mais apparemment il était pas trop pressé. Il ne manqué que mon père, mais débauchant tard, je ne m’attendais pas à ce qu’il sois à la maison si tôt. Je me gara correctement à côté de la voiture de ma mère, coupa le contact, regarda quelque seconde le manoir avant d’esquissé un mince sourire et de sortir de la voiture, la fermer à clé et rentrer dans le manoir. Je referma la porte d’entré derrière moi, enleva mon manteau pour le suspendre et me déchaussa. Avant de me décider à aller retrouver Naruto qui devais être dans notre chambre planchant sur son devoir, le jeune blond étant inscrit au beau art -école que mes parents lui payer- ayant un don pour tous ce qui est de la création artistique « Il est censé faire un tableau sur un paysage qui lui inspire un moment de paix » Etant donner que ça fait presque un mois qu’il planche dessus et qu’il doit rendre son œuvre dans deux semaine il ne peut plus ce permettre d’attendre et étant au mois d’octobre et qu’il fait un froid de canard dehors je le vois pas ce prélassé dans l’herbe du jardin, même si il adorerait ça. Parfois je me dit qu’il doit être insensible au froid, moi je suis geler des que je met le bout du nez dehors mais lui il pourrais regarder la neige tomber pendant des heures debout sur le perron juste par simple plaisir. Je traversa le couloir et entra dans la cuisine, je vis ma mère debout en train de préparé le repas, coupant des tomates et des concombres, je m’approcha d’elle à pas feutré, elle ne m’avais pas entendue rentrer et comme à chaque fois je pris un malin plaisir à avancé doucement vers elle, arrivant à sa hauteur je l’embrassa sur la joue et lui piqua un bout de tomate qu’elle avait coupé. Je la sentis sursauter quand mes lèvres ce sont posé sur sa joue, mais une fois la surprise passé je la vis sourire et prendre un air faussement réprobateur quand je piqua un bout de tomate. J’alla ouvrir un placard me pris un verre et me servit un verre d’eau sous l’œil inquisiteur de ma mère. Elle savait ou j’avais passé ma journée alors je ne pouvais que supposer qu’elle attendait que je lui dise comment ça c’était passé.
Je bus une longue gorger d’eau avant de reposer mon verre, de pousser un soupir et de regarder ma mère. Mais c’est elle qui entama la conversation presque comme à chaque fois.
- Alors ? Comment ça c’est passé ?
- … Plutôt bien… Je me suis ennuyait ferme !
- Sasuke ! Sérieusement ?
- ça c’est bien passait… Enfin jusqu’à ce que je me rende compte qu’il y avait Sai !
Ma mère connaissait toute l’histoire, je lui avait tous raconté. Elle ne fut donc pas surprise par mon ton mauvais et mon air froid quand je prononça le nom de mon ancien rival. Mais elle ne dit rien me laissant le loisir de poursuivre sans être interrompu. C’était tout ma mère ça, elle savais écouter quand il le fallait et parler quand elle le devais. Plusieurs fois elle m’avais conseillé de dévoiler ma flamme à Naruto, me disant que je devais tout tenter si je l’aimé vraiment… Jamais elle ne m’avais jugé que ce sois de mon choix d’orientation sexuelle ou autre. Me conseillant toujours quand j’en avais besoin et m’écoutant encore et encore déprimait quand je voyait Naruto s’éprendre d’affection pour quelqu’un d’autre. Je me rappel encore les nombreuses soirées que ma mère avait passé dans ma chambre m’écoutant déprimait quand Naruto s’était épris du bonbon rose nommée plus communément Sakura. Je me rappel avoir passé une année épouvantable, Naruto n’ayant d’œil que pour Sakura, je me rappel m’être sentis délaissai, je me sentais affreusement seul, sans ma mère je sais pas comment j’aurai supporté cette année la. Et puis petit à petit Naruto ces lassait ou à surement pris conscience qu’en réalité il n’aimé pas vraiment la jeune femme mais voulait faire comme les autres garçons. Il est revenu vers moi et ont à repris comme si de rien n’était, ma mère me reprochant de ne pas avoir franchit le pas. Mais à l’époque j’avais encore trop peur de sa réaction. Je poussa un nouveau soupir, un de ceux que je m'autorisé qu’en la présence de ma mère et me passé une main dans la nuque. Je bus une nouvelle gorgé de mon verre d’eau.
- Je crois que j’ai compris quelqu’un chose d’important.
- Ah oui ? Est qu’est ce que c’est, si je peux me permettre ?
J'Esquissa un sourire avec un air de coquin.
- Tu es trop curieuse.
Je lui sort avec un doigt réprobateur sous le nez, qui la fit rire. Je la vis esquissait une petite moue, mais elle ne dit rien retournant couper ces concombres.
- Je me suis juste rendu compte qu’il fallait que je fasse des efforts, que je pouvais pas toute ma vie, vivre sur une peur stupide, il mérite de pouvoir vivre heureux sans s’inquiété à toujours ce demander si je vais lui faire une crise de jalousie ou pas.
Je m’arrêta gardant le reste pour Naruto. Je la vis esquissait un nouveau sourire en ma direction et avant que je ne sorte de la cuisine pour aller retrouver mon beau blond je l’entendis me dire « Je suis fier de toi mon chéri » Bizarrement ça me mit du baume au cœur et je me sentis soudain plus confiant pour la suite. Je monta les escaliers qui mener au premier étage, je croisa au passage Kakashi un collègue de travail et surtout ami de mon frère d’ailleurs en pleine discutions avec Itachi. Je m’arrêta quelque minute pour discuter avec eux, mon frère me demandant comment c’est passé ma journée, question que j’ignore en beauté. J’allais m’apprêter à poursuivre mon chemin et rentré dans ma chambre ou m’attendais Naruto quand Itachi m’interpela avant.
- N’oublie pas pour Samedi !
Je me retourne vers lui, les sourcils froncés, me demandant de quoi il parle encore. Que pouvait-il y avoir samedi. Je le vis faire une moue réprobatrice.
- La petite fête en l’honneur de ton cher et tendre !
J’écarquilla les yeux, c’est vrai, pas que j’avais oublié, son anniversaire est demain mais ont avaient décidé de lui faire une surprise pour ces 21 longue et belle années. J’avais d’ailleurs son cadeau caché au fin fond de mon vide poche dans ma voiture. Fallait bien une cachette sur ou il ne risquait pas de tomber par hasard dessus. A la maison il est comme chez lui, mon armoire et aussi son armoire et les autres placards de la maison faut pas y penser il s’en sert aussi.
- J’avais pas oublié !
- Hm ! Maman sais quel gâteau elle va faire, papa et moi ont c’est charger des invites, j’espère que tu t’est occupé des décorations.
- Hn… J’irai cette semaine.
Je lui laissa pas le temps de répondre que je me faufilait déjà par la porte de la chambre, la fermant à clé derrière moi pour pas être déranger, je le connaissait il était capable de rentré. Je me retourna pour avoir une vue d’ensemble sur la chambre. Il n’y avait personne assis au bureau comme je mis attendais. Je regarda par la fenêtre et je remarqua que la neige c’était remise à tomber ça me donna un frisson rien que d’y pensais. Je tourna enfin mon regard vers le lit. Tient Naruto. Il était allongé un bras repliait derrière sa tête, un genou légèrement repliait lui aussi, le regard tournais vers la fenêtre il regarder la neige tombait. Tient Moka le chat et couchait en boule sur son ventre, Naruto lui gratouillais le derrière d’une oreille et je l’entendais ronronner jusque la. Sa pose désinvolte me fis sourire et je chassa rapidement les pensées peu chaste qui venais de s’immisçait dans ma tête. Le prendre la tout de suite n’était pas envisageable, il fallait qu’on parle avant, quoique la discutions est toujours favorisait après l’acte. Je me mit une gifle mental mémorable et m’avança dans la chambre pour lui indiqué ma présence. Il tourna son regard vers moi et me fit un grand sourire avant de ce relevé sur ces coudes faisant fuir le chat qui alla ce réfugié sur la banquette. Je pris le siège du bureau le retourna vers lui et m’assied dessus avant de le regarder. Ce qui ne m’avais pas frappé avant, le fit maintenant, il était habiller d’un simple boxer noir et d’un tee-shirt blanc beaucoup trop grand pour lui que je deviner être l’un des miens. Une de ces fines mais musclés épaule était dévoilé ce qui me donna une furieuse envie de lui sauter dessus et d’y apposer ma marque. Je déglutis difficilement et me demanda comment je pouvais parler avec un tel appel au viol devant moi. Sa peau hâlé m’appeler, son épaule dévoilé ne demander qu’une chose, que je lui accorde ma plus grande attention, Ses cuisses musclé m’inciter à les toucher, ces cheveux de blé désordonné me demander d’enrouler mes doigts dedans et quand je plongea mes obsidiennes dans son regard océan je cru flancher. Mais je me repris me raclant la gorge sous son sourire moqueur, il me faisait de l’effet et il le voyait et ne faisait rien pour éviter que je lui saute dessus, au contraire j’avais plutôt l’impression qu’il attendais que ça. Mais pourtant au bout de quelque minute de combat visuel acharné c’est lui qui pris la parole. Il devait surement ce demandé comment c’était passé ma journée étant donné que c’est lui qui me l’avait organisé.
- Alors comment c’est passé cette journée ?
Sa voix douce, chaude et légèrement grave me chatouilla les oreilles, et je sentis mon cœur battre un peu plus vite. Si au simple au son de sa voix de réagis comme ça, imaginez comment mon corps réagis quand ces mains commence à me toucher. Je me racla la gorge une nouvelle fois avant de me décider à lui répondre. Je ne savais pas par ou commencer… Le peu de confiance que j’avais gagné en quittant la cuisine venait de brutalement disparaitre. Alors je décida de commencer, certes pas par le plus marrant, mais je me disait que si je rentré dans le tas je ne pourrais que mieux m’en sortir. Enfin en théorie. Quoique je me poser vraiment la question de savoir si ma théorie était bonne à suivre ou pas, mais c’était trop tard pour reculer.
- J’ai rencontré Sai ! Il était à la séance !
Je le vis être surpris, mais je vis surtout une lueur d’inquiétude dans son regard. Il savait comment ça finissait à chaque fois qu’on était dans la même pièce tous les deux. Je ne savais pas si je devais prendre son inquiétude pour moi ou pour cet abrutit de Sai, mais je chassa tout d’un revers de main imaginaire. Je le vis ce relever en position assise et ce mettre devant moi assis au bord du lit. Il me regarda intensément, ces grands yeux bleus chassant tous les doutes en moi. Je me leva et alla m’assoir à côté de lui au bout du lit.
- Ne t’inquiète pas… ça c’est bien passé. Et puis Sai et toujours en un seul morceau.
J’arrive à lui décrocher un petit rire qui fit battre un peu plus mon cœur, qui était déjà mis à mal par sa proximité. C’est qu’il m’avait manqué. Mais je vis bien qu’il attendais plus, alors c’est sérieusement que je lui pris une de ces mains et le regarda droit dans les yeux. Je lui fit un sourire avant de baisser la tête sur nos deux mains jointes… C’est comme ça qu’elle doivent toujours être.
- Tu sais… J’ai pris conscience de quelque chose… D’important.
- Ah oui ! Et qu’est ce que c’est ?
Il était curieux je le savais et pas seulement aujourd’hui, il faisait souvent preuve d’une curiosité maladive mais ça lui donné un charme enfantin des plus adorable. Surtout quand il ce met dans des situations dont lui-même ne pouvait pas soupçonner l’idée.
- Je t’aime …
J’avais du mal à poursuivre, pourtant ce n’était pas compliqué, surtout qu’il n’y avait rien d’extraordinaire dans ce que j’avais à lui dire. Mais peut être que j’avais peur que lui ne sois pas prêt à suivre mes pas. Mais sa voix chassa de nouveau mes doutes, elle s’immisças doucement en moi me réchauffant la ou j’en avait besoin.
- Moi aussi je t’aime, tu le sais !
Je resserra ma prise autour de sa main et je le senti faire de même. Oui je le savais, mais j’en était enfin convaincu. Cette phrase qu’il m’avais si souvent répéter sonner enfin vrai à mes oreilles. Il ne me mentait pas, il ne voulait pas non plus de quelqu’un d’autre, et je me devais de lui dire.
- Oui… Oui maintenant je le sais !
Il fut surpris je le sentis plus que je le vis car je n’avais pas relevé les yeux vers lui, fixant toujours nos mains liées.
- Comment ça, tu le sais maintenant ? Et regarde-moi !
J’inspira un grand coup et le regarda dans les yeux. Je vis de nouveau ces grands yeux bleus qui était cette fois remplis d’interrogation. Comment va-t-il réagir quand je vais lui dire que j’avais confiance en lui mais pas totalement et que avant aujourd’hui je n’était pas totalement convaincu qu’il m’aimé comme il le disait. Je poussa un soupir et me jeta à l’eau, ça allait être surement la première fois de ma vie que j’allais autant parler.
- Je t’ai toujours fait confiance… Mais je ne sais pas, avant quand tu me disait que tu m’aimé, il y avait toujours une part au fond de moi qui me disait « ne le crois pas entièrement. » Surement pour me protéger. Tu vois… Le jour ou j’ai vu Saï t’embrassé… J’ai cru mourir, sa va surement te paraitre très romanesque et fleur bleu mais je l’ai mal supporté et pourtant je pensés que c’était du passé depuis le temps, que ça n’avait pas d’importance puisque tu es avec moi maintenant. Mais depuis ce jour, malgré le fait qu’on n’était pas encore ensemble au moment ou sa c’est passé, j’ai toujours eu cette peur qui était de me demander si tu te jouer de moi, si une fois lassait tu retournerais voir Saï ou un autre, car je n’étais pas persuadé que tu m’aimé autant que moi je t’aimé. Et j’avais peur de te perdre alors je t’ai peut être un peu trop étouffais, j’en ai conscience maintenant.
Je pris une longue inspiration et regarda Naruto, essayant de deviner ce qu’il pouvait penser de ce que je venais de lui dire. Il avait les sourcils froncé et il réfléchissait intensément, je le vis ce mordre un coin de sa lèvre inférieur avant d’entrouvrir les lèvres pour parler.
- Je vois. Donc tout ça à commencer à cause d’un malencontreux baiser. Je n’ai jamais aimé Saï… Du moins pas de cette façon, d’ailleurs je n’ai jamais aimé quelqu’un d’autre que toi de cette façon. Mais à l’époque de Saï j’était perdu…
- Perdu… Comment ça ?
Il détourna la tête et regarda quelque instant la neige tomber avant de la reporter sur moi.
- J’ai toujours sentit qu’entre nous, il y avait quelque chose de fort… Quelque chose de bien plus fort que de la simple amitié. Puis quand j’ai commencé à ressentir des choses nouvelles pour toi… Des choses que je ne connaissait pas… Je ne savais pas comment réagir, je ne savais pas quoi penser de moi et de ces sentiments, me demandant si c’était bien de ressentir ça pour toi qui était mon meilleur ami et un garçon en plus de ça. J’était vraiment perdu et c’est de ça que Saï et moi on discuter ce jour la. Il ma dit que lui il avait des sentiments pour moi depuis quelque temps et il ma embrassé, si je l’ai laissé faire c’est parce que… Je ne sais pas trop peut être que je voulais savoir ce que j’allais ressentir face à ça, savoir ce que ça faisait… Et puis comme je ne savais pas comment t’aborder…
J’était intriguait maintenant, pour la première fois depuis 4ans qu’on était ensemble on parler enfin de ce sujet qui m’a toujours déplut. Jamais il ne m’avais expliqué ce baisé. Je ne voulais pas qu’il s’arrête en si bon chemin.
Je resserra la prise autour de sa main et il releva des yeux humides vers moi. J’eu un pincement au cœur et je passa ma seconde main sur sa joue et je le vis esquissait un doux sourire.
- Continue …
- Je ne savais pas si tu ressentais la même chose ou pas… Et puis je me suis dis que pour toi je n’était que ton meilleur ami et que je n’avais pas le droit de ressentir ce genre de chose, alors embrassé Saï c’était aussi pour essayer de t’oublier, m’enlever l’obsession que tu étais devenu. Je me suis dit qu’être avec quelqu’un d’autre ça me permettrait de t’oublié… Du moins de t’oublié de cette manière la.
On esquissa tous les deux un sourire, et je ne put me retenir d’avantage, je m’avança doucement et pris possession de ces lèvres. Quand les miennes touchèrent les siennes je me sentis horriblement bien. Elles étaient douce et avait un petit gout sucré, je poussa un soupir de contentement et passa le bout de ma langue sur sa lèvre inférieur pour lui demander l’accès, ce qu’il accepta aussitôt, entrouvrant les lèvres et laissant ma langue venir caressait tendrement la sienne. Un doux ballet commença et je le senti s’avancer un peu plus vers moi, collant son torse au mien, posant une main tiède dans ma nuque et l’autre sur ma taille. Je l’entendis poussai un gémissement quand une de mes mains passa sous son tee-shirt et vint caressait une partit de son ventre retraçant le contour d’un fin abdominaux, tout en continuant ce baiser qui était devenu plus fougueux. Mais je décida de rompre le contact avant que ça dégénèrent, on avait encore des choses à ce dire. Il en vint surement à la même conclusion car je le sentis diminué l’intensité du baisé, il me mordilla la lèvre inférieur avant de ce reculer et de me faire un sourire rayonnant. Je lui fit un de mes plus beau sourire que j’avais en réserve rien que pour lui avant de reprendre la parole.
- Tu aurais du venir m’en parler, baka.
- Et toi alors !
Il n’avais pas tord. Ont avait tous deux était stupide à l’époque.
- En tout cas sache que je suis prêt à faire ma vie avec toi Naru. Je suis prêt à vivre avec toi mais pas seulement… Je suis prêt à créer notre petit nid à nous… Je suis prêt à t’aimer comme tu le dois, Je…
Je ne pus finir ma phrase. Je le vis lever sa main et poser le bout de ces doigts sur mes lèvres m’empêchant de poursuivre. Sur le coup j’ai cru que j’était allé trop loin, que je venais de l’effrayer. Que lui n’était pas prêt pour ça. Mais je fut surpris quand je vis un sourire heureux, un sourire paisible affichait sur son visage. Il enleva ces doigts et me fit un petit baiser avant de poser son front contre le mien.
- Moi aussi… Moi aussi je suis prêt pour ça. Je t’aime, il n’y à que toi et il n’y aura jamais que toi met toi bien ça dans le crane. Je ne te demande pas de ne plus être jaloux… Je me poserai des questions sinon… Juste de me croire et de ne pas voir du mal chez tous le monde. Dit toi que toutes les personnes de cette planète ne me tourne pas autour.
- Hn… Mais je ne garantis pas que je serais moins jaloux !
Il rit, et son rire me fit un bien fou. Je l’accompagna, riant légèrement. Je le vis hochet la tête résigner mais il savait que j’étais prêt à faire des efforts de ce côté la et c’est tout ce dont il avait besoin. Ces yeux océan briller d’un éclat nouveau, Il ancra ces perles bleu dans mes onyx et je pu lire dans son regard de la tendresse, de la passion mais aussi et plus que tout de l’amour, celui qui m’était dédier. Je ne pouvais plus le nier ni l’ignoré il m’aimer et mon cœur ce gorgea de ce fait. C’était comme une bouffé de bonheur qui m’envelopper de l’intérieur.
Je leva une main et passa mes doigt dans ces cheveux de blé, agrippant une petite poignée à l’arrière de sa tête, je tira doucement dessus pour pas lui faire mal et une fois que son visage fut à hauteur du mien je pris voracement possession de ces lèvres. Je le sentis brièvement sourire dans le baiser avant de passé ces mains dans mes cheveux, il me pressa d’une main l’arrière de la tête juste à la base de la nuque alors que l’autre était toujours dans la masse de mes cheveux attrapant par moment quelque poignet sans pour autant me faire mal. Je le sentis approfondir le baiser, sa langue caressant la mienne d’une façon si sensuel que j’eu l’impression de fondre. Mon corps ce réchauffa, je sentis une douce chaleur s’immisçait dans le creux de mes reins puis ce rependre dans mon bas ventre. Une des mains de Naruto glissa le long de mon dos pour venir choir à la base de mon pull, je sentis sa main ce faufiler dessous. Ces doigts tièdes redessinèrent les contours de mes abdominaux avant de remonté caressait mon torse puis s’attarder plus longuement sur un de mes tétons. Malgré moi je poussa un soupir de contentement quand il le pinça doucement avant de l’effleuré de la pulpe de son doigt. Je resserra mon étreinte autour de lui, passant une main sur une de ces cuisses pour le soulever, il comprit aussitôt et vint se poser à califourchon sur mes genoux, je sentis sa seconde main chuté et la passé sous mon pull qu’il remonta doucement, ces lèvres quittèrent les miennes laissant une désagréable impression de manque… Manque qui fut vite comblé quand je le sentis les posés dans mon cou qu’il mordilla, remontant toujours mon pull, il ce retira de mon cou pour me retiré ce vêtement qui d’après lui était trop gênant. Je le vis vaguement le jeté au travers de la chambre avant de reprendre son travail dans mon cou. Je sentis sa langue me gouté par petite léchouille avant de me mordiller de nouveau et de me suçoter. Il poursuivit son exploration grignotant ma clavicule avant de remonté brièvement puis de m’embrassé. Etant torse nu et lui ne portant qu’un simple boxer je sentis son érection plus que croissante frotté contre mon bas ventre, ce qui m’arracha un petit gémissement d’impatience à l’idée de la suite.
Ne voulant pas resté en reste, je fis moi aussi glissé mes mains, j’en posa une sur une de ses cuisses la malaxant tout en remontant vers une de ces fesses. Je la malaxa tendrement puis le sentis ce tendre et soupiré de plaisir quand mon autre main passa sous son tee-shirt pour venir caressait son ventre plat puis remonté lentement. Je passa l’index sur un de ces tétons le faisant légèrement ce tendre. Il ce colla un peu plus à moi et je le fis basculer sur le côté pour l’allonger sur le lit. Je le regarda quelque seconde, ces yeux briller de désir, ces lèvres entrouverte quémandant encore plus d’attention était luisante de nos dernier baiser. Une de mes jambes était entre les siennes et je le sentis ce frotté contre moi, dans un déhanchement doux mais sec je sentis son érection encore prisonnière de son boxer rencontré la mienne toujours prisonnière des couches de vêtement. On poussa un gémissement, moi essayant de l’étouffait dans le creux de son cou. Je posa mes lèvres sur sa peau le mordillant sur toute la longueur de son cou m’attardant un peu plus à la base la ou je savais qu’il était le plus sensible. La réaction ne ce fit pas attendre, il ce cambra légèrement contre moi, basculant sa tête sur le côté me laissant un plus grand accès. Je l’entendis murmurer mon prénom ce qui eu l’effet d’une bombe sur moi, mon bas ventre s’enflamma un peu plus sous le son rauque de sa voix chargé de plaisir. J’allais m’attaqué un l’un de ces tétons quand plusieurs coup puissant furent tapé dans la porte.
- Sasuke, Naruto… Ce n’est pas pour vous dérangez mais on vous attend pour manger.
Pas pour nous déranger ? Mon œil je l’entend pouffais de la ou je suis. Sur le coup j’eu plusieurs pensées, dont la plus forte qui était de me dire, est ce qui si je tue mon frère mes parents m’en voudront t’il. Pour calmé mon excès de rage j’enfoui ma tête dans le creux du cou de Naruto qui n’en mené pas large non plus. Je sentis son corps frémir sous moi. Je me demanda si c’était de colère après mon frère ou du à la proximité de nos deux corps… C’était surement les deux. Je poussa un soupir de résignation, n’étant pas pour autant décider à répondre à mon frère ce que Naruto fit à ma place.
- On arrive !
J’entendis de nouveau mon frère pouffais avant de repartir vers l’escalier. Naruto passa une main dans mes cheveux alors qu’une des miennes passé toujours doucement sur son torse. Mon doigt effleura un de ces tétons et je le senti de nouveau frémir sous moi. Je plongea mon regard dans le sien, lui aussi voulait continuer mais c’est résigner et à regret que je me releva effleurant de nouveau son tétons et l’embrassant lui mordillant sa lèvre inférieur comme lui précédemment. Une fois complètement relevé je ramassa mon pull qui avait atterris au pied de la banquette prés de la fenêtre et me retourna vers lui. Il était toujours allongé de tout son long et fixait la porte de notre chambre d’un air mauvais avant de reporter un air boudeur sur moi. Il ce releva et récupéra son tee-shirt qu’il mit.
- Tu crois que si accidentellement je fait tombé Itachi dans les escaliers, tes parents m’on voudrons ?
Je me figea, bloquant sur ce qu’il venait de dire avant de pouffais de rire. Son air boudeur s’aggrava et je ne pu retenir un rire. C’était dans ces moments la ou je me dis qu’entre nous c’est plus qu’une relation charnelle il y à une complicité à toute épreuve. Il pense même comme moi.
- Je vois vraiment pas ce qu’il y à de drôle.
Je me calma rapidement lui décochant un regard fier, je n’allais tout de même pas m’abaisser à faire comme lui et lui tirer la langue –réaction purement enfantine- Quoique un jour faudra que j’essai, juste pour voir sa tête. Je me racla la gorge avec toute la dignité dont je pouvais faire preuve, avant de me dirigeait vers la porte de la chambre et de la déverrouiller l’attendant pour descendre. Il ce leva du lit et s’avança vers moi, une fois debout je vis que le tee-shirt lui arrivait en dessous des fesses et pendouiller négligemment. Je le vis faire demi-tour et prendre un bas de pyjama à lui dans l’armoire. J’en fut étonné sur le coup car il était rare qu’il mette un bas de pyjama même pour descendre en bas, mes parents et mon frère étant habitué à le voir arrivé le matin à moitie réveiller, le regard dans le vague les cheveux en bataille et vêtue d’un simple boxer et